NÎMES Les Ministri des Arènes n'attendent que vous pour jouer dans Nîmes cité des dieux !
Il faudra des hommes... Plus qu'à l'accoutumée alors si vous en êtes, n'hésitez pas et rejoignez l'aventure Nîmes cité des dieux. Quèsaco ? Marc-Antoine Petit de l’association des Ministri des Arènes en dit plus...
"Nîmes cité des dieux sera un beau spectacle estival, nocturne, qui va parler de l’histoire antique de Nîmes, de sa création à la Pax romana. Il y aura des images projetées au sol et sur le mur jusqu’au boudin. Des cascadeurs, des acrobates, des acteurs professionnels feront eux aussi vivre les tableaux où les dieux seront très présents, y compris dans les dialogues." Du grand spectacle, de la féérie, de la belle image pour un show qui est prévu les 8, 9, 11, 12, 13 et 15 août.
Contrairement à Hadrien, il n’est pas question de reconstitution, tout sera romancé pour les yeux. Par contre, quelques décors de la première édition des Journées romaines seront à retrouver en piste. Mais pour vivre cette expérience unique de l’intérieur, il faut donner de son temps. Six représentations et donc pas mal de répétitions. Deux répétitions de jour les 14 et 15 juin, puis les 5 et 6, 19 et 20 juillet de nuit et en-dehors des arènes. Les 4, 5 et 6 août, ce sera dans les arènes et la répétition générale aura lieu le 7 août. Comme les répétitions seront en soirée, cela permet plus facilement d’y venir.
"On recherche des bénévoles qui seront figurants et costumés pour le spectacle de cet été. Il y aura des légionnaires qui seront sans armures, on évoquera les légionnaires, on les représentera. Ce sera pareil pour les autres époques et ça devrait simplifier la compréhension par rapport aux Nuits de Nemaus." Comme il y a beaucoup de répétitions et qu’il sera certainement difficile d’être présent à toutes, des groupes devraient être créés pour faciliter les choses. Certains groupes joueront certaines scènes et ne devront ainsi pas répéter tout le spectacle. L’attente, toujours longue, sera largement minimisée.
"En tout, il faudrait être 150, ce serait l’idéal sachant que nous sommes déjà près de 100. Il nous faut un peu plus d’hommes, car nous avons besoin de 60 légionnaires. Les mineurs sont acceptés mais s’ils sont accompagnés. Les familles sont aussi les bienvenues, si vous avez trois euros, vous venez !" Car oui, pour intégrer l’association des Ministri des Arènes et les spectacles auxquels elle participera, il vous faudra débourser la somme de trois euros. C’est peu pour vivre de pareilles expériences. Parole.
Un esprit de fraternité, une ambiance de troupe, des personnes que l’on retrouve avec plaisir d’une année sur l’autre… Faire partie de ce petit tout et entrer en scène sur le sable d’un amphithéâtre bimillénaire, c’est quand même quelque chose ! La convivialité est aussi de mise. Tout comme la fierté de participer à la valorisation du territoire. "Être acteur de votre ville, de votre région, c’est pour cela qu’on a créé l’association. Faire rayonner Nîmes par ses spectacles, avec des Nîmois qui en sont acteurs, c’est une chose importante pour nous." Allez messieurs, surtout, venez et participez à un spectacle qui fera de vous... un autre homme !
Le résumé du spectacle : Bâtie autour d’une source sacrée, Nîmes est une ville romaine vieille de 2000 ans mais d’autres peuples ont laissé leur empreinte en Gaule du Sud. Les Grecs, les Celtes, les Germains et les Egyptiens ont eux-aussi contribué à l’histoire de cette illustre cité. Ces différentes civilisations possèdent toutes leurs propres dieux. Au fil des siècles, Dionysos, Namas, Wotan, Jupiter et Isis dialoguent avec les hommes, s’allient ou s’opposent les uns contre les autres. Dans le cadre prestigieux des arènes de Nîmes, plus de deux cents figurants, comédiens, acrobates, effets spéciaux innovants, vidéo mapping et décors somptueux vous entrainent dans la magie des mythologies antiques et vous font voyager dans le temps à travers une mise en scène extraordinaire !
Pour adhérer à l’association, c’est par là et ici pour s’inscrire au spectacle. L’actualité sur les réseaux sociaux, c’est par ici.