NÎMES Agression d'un collégien au couteau : les réactions politiques

L'entrée du collège Saint Jean-Baptiste de la Salle
- Photo Sacha Virga"Unis et déterminés face à ces actes inqualifiables", lâche le maire de Nîmes Jean-Paul Fournier.
Jean-Paul Fournier, maire de Nîmes : "C’est avec une profonde émotion et une grande indignation que j’ai appris l’agression dont a été victime un collégien de 13 ans devant son établissement scolaire à Nîmes. Cet acte de violence inacceptable bouleverse notre ville. Avant tout, mes pensées vont à ce jeune garçon, à sa famille et à ses proches. Je leur exprime mon soutien dans cette épreuve difficile et souhaite un prompt rétablissement à la victime. Je tiens à saluer la réactivité des forces de l’ordre qui ont rapidement interpellé un suspect. La justice devra maintenant faire toute la lumière sur cette affaire et sanctionner avec la plus grande fermeté l’auteur de cette agression. La sécurité de nos enfants est une priorité absolue. Aux côtés de l’Éducation nationale et des services de l’État, la ville de Nîmes continuera de mobiliser tous les moyens nécessaires pour assurer la protection des élèves aux abords des établissements scolaires (effectifs, caméras…). Nous ne tolérerons jamais que la violence vienne s’installer dans notre ville, encore moins lorsqu’elle touche notre jeunesse. Plus que jamais, nous devons être unis et déterminés face à ces actes inqualifiables."
Franck Proust, président de Nîmes métropole : "Une agression au couteau d’une gravité insoutenable a eu lieu à Nîmes, devant le collège Saint Jean-Baptiste-de-la-Salle. Face à cette violence inacceptable, l’État doit apporter une réponse ferme et systématique. L’excuse de minorité ne peut plus servir d’alibi à l’impunité. Tolérance zéro pour ce mineur délinquant !".
Julien Plantier, Premier adjoint à la ville de Nîmes : "Cet après-midi, un adolescent de 13 ans a subi une agression au couteau devant son établissement scolaire. Un acte inqualifiable, pensées à la victime, prompt rétablissement, soutien aussi aux collégiens de cet établissement ainsi qu'à l'équipe pédagogique. Tolérance zéro pour l'auteur des faits arrêté rapidement par la suite, dont les agissements devront être traduits devant la justice avec la plus grande célérité."
Vincent Bouget, vice-président au département du Gard : "Heureusement, la victime n’est plus en danger. Je lui témoigne de mon soutien et apporte ma solidarité à tous les élèves et parents qui sont choqués ainsi qu’à toute la communauté éducative. La police et la justice vont maintenant faire leur travail. La banalisation de la violence dans notre société doit nous faire réfléchir et agir collectivement."