À la Chambre de métiers et de l’artisanat du Gard, et dans les locaux de la brandade « La Nîmoise », Arnaud Montebourg a défendu le « Made in France » et le « Made in Gard ».

« Ça sent le poisson ici ! », s’est exclamé Arnaud Montebourg, lorsqu’il a poussé la porte de l’atelier de production de « La  Nîmoise » du Brandadier Christophe Mouton (18, rue Émile-Jamais, à Nîmes). L’ancien ministre de l’Économie, du Redressement productif et du Numérique (2012-2014) est venu dans le Gard, ce lundi, pour « (se) renseigner, apprendre et apporter du soutien si cela est nécessaire ».

Arnaud Montebourg a posé de nombreuses questions sur la confection de la brandade nîmoise. Puis, en compagnie d’Henry Brin (Président de la Chambre de métiers et de l’artisanat du Gard) et de Joëlle Gras (sous-préfète de Vigan), Arnaud Montebourg, après l'atelier, c'est la boutique de la maison de la Brandade « La Nîmoise » (9, rue de l’horloge) qu'il est allé visiter.

Le défenseur du « Made in France » a dégusté des "pâtés à la nîmoise" et... de la Brandade. Il s’est aussi vu offrir, par Henry Brin, un couteau camarguais gravé à son nom. Dans ce commerce du centre-ville, il a pu échanger avec Christophe Mouton et Thierry Bosc de la « Maison Bosc », traiteur aux halles de Nîmes. « Je lance un appel à tous les artisans, tous les jeunes entrepreneurs : battez-vous, parce que ça marchera ! », a déclaré Arnaud Montebourg.

La visite s’est poursuivie à la Chambre de métiers et de l’artisanat du Gard, avenue du Maréchal Juin, où Arnaud Montebourg a assisté à une réunion de travail autour du projet « Sericyne » qui porte sur la fabrication des objets en soie naturelle non tissée, basé à Monoblet. Puis, en fin de matinée, l’ancien ministre a assisté, en présence de Denis Bouad, le président du Conseil général du Gard, à une réalisation d’atelier animé par le chef Nîmois Vincent Croizart.