8 véhicules ont brûlé dans la nuit de dimanche à lundi dans une concession automobile près de la prison de Nîmes. Une enquête est en cours.

Mais plus surprenant le lendemain soir c'est à dire lundi 14 avril vers 21h c'est une voiture BMW qui a été incendiée face à la prison de Nîmes. Les pompiers sont intervenus pour éteindre le sinistre. Une inscription a également été retrouvée sur l'enceinte du mur le l'établissement pénitentiaire nîmois, avec quatre lettres DDPF qui pourraient se traduire par droit des prisonniers. Des investigations sont en cours à Nîmes mais aussi dans plusieurs autres villes françaises car plusieurs prisons ont été touchés par ces incendies et violences ces dernières heures.

Des faits qui selon le journal le Parisien qui révèle l'information s'inscrivent dans un contexte national puisque plusieurs prisons de l'hexagone sont ciblées depuis dimanche soir. "Les services de renseignement ont ainsi découvert un canal Telegram, du même nom que ces inscriptions, qui pourrait être lié à l’ultragauche et lance des appels à s’en prendre à des établissements pénitentiaires", complète même le journal Le Parisien. Des investigations sont en cours dans plusieurs prisons françaises qui ont subi des incendies ou des tirs ces dernières heures comme à Marseille, Toulon, Valence, ou encore en région parisienne. 

Un peu plus tard dans la journée de mardi, nous avons appris que le Parquet National Antiterroriste avait également récupéré le dossier de l'incendie des 8 voitures dans la nuit de dimanche à lundi dans un garage automobile proche de la prison de Nîmes.