Publié il y a 7 h - Mise à jour le 24.01.2025 - CM - 2 min  - vu 177 fois

TÉLÉVISION La lingerie "Pomponette" de Caveirac à l’honneur sur TF1

Aurélie Vidal Markocki, la propriétaire de Pomponette Lingerie à Caveirac

Aurélie Vidal Markocki, la propriétaire de Pomponette Lingerie à Caveirac

- Coralie Mollaret

La propriétaire de la boutique « Pomponette » à Caveirac, Aurélie Vidal Markocki, a été suivie par le magazine 50' Inside, lors du Salon international de la lingerie à Paris. Retrouvez notre Gardoise ce samedi à 17h50 sur TF1.

C’est une commerçante pleine de positivité et d’énergie que vous découvrirez demain soir sur TF1, à 17h30. L’équipe de 50' Inside a suivi Aurélie Vidal Markocki, propriétaire de la boutique indépendante Pomponette à Caveirac (1 rue des Rolliers). À travers ses beaux yeux bleus et pétillants, elle nous guide dans l’univers envoûtant de la lingerie.

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Aurélie Vidal Markocki fait partie des 600 indépendantes françaises. Elle est la seule dans la région nîmoise. Sa boutique fait également partie des 100 meilleures lingeries de France. Ce salon international est un rendez-vous incontournable de son agenda. Il lui permet de rencontrer ses fournisseurs et de découvrir les dernières tendances et créations. « On se fait chouchouter, on découvre les collections de l’hiver prochain directement sur les mannequins… Pour une fois, je suis dans la position de la cliente », souligne-t-elle.

Des dessous haut de gamme, du bonnet A au O !

Force vive de notre territoire, Aurélie Vidal Markocki est une adepte du “Powerful de la lingerie” : « Quand tu es canon dans tes dessous, tu te sens bien ! Or, si tu commences la journée mal dans ta culotte, tu ne seras pas confiante ! » Du coup, Pomponette met en pratique sa philosophie, proposant des marques haut de gamme (Wacoal, Prima Donna, Simone Pérèle, Aubade…). Elle s’adapte aussi à toutes les morphologies : « Nous allons du bonnet A au O et du tour de dos de 75 à 130 cm. En tant que commerce indépendant, nous connaissons vraiment nos produits. On s’adapte aux silhouettes afin de répondre aux besoins. »

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Cette volonté de personnalisation résonne avec son histoire personnelle : « J’ai toujours été très féminine, j’ai toujours aimé le maquillage, la lingerie… Mais à cause de mes problèmes de poids, j’ai longtemps hésité à entrer dans un magasin. Quand j’ai enfin franchi le pas, je me suis achetée mon premier maillot, certes à 130 €. Mais je me suis sentie belle et confiante. » Des sentiments pour lesquels, il faut parfois mettre le prix. Rendez-vous donc ce samedi soir, sur TF1, pour découvrir notre Anna Wintour du soutif !

CM

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