BAGNOLS/CÈZE 21e festival des Femmes du Monde du 1er au 8 mars
Cette année, le festival Femmes du Monde met en avant “ces Femmes qui résistent”. L’association éponyme organise des expositions, des rencontres, un café littéraire et deux séances de cinéma.
Même si elles n’ont plus à prouver qu’elles existent, il faut mettre en valeur celles qui résistent. C'est tout le but de ce 21e festival Femmes du Monde. Concomitamment à la Journée des droits de la femme, le 8 mars, l'association Femmes du Monde organise une nouvelle édition de son festival du 1er au 8 mars. Deux expositions seront visibles gratuitement.
La première est prêtée par l’association nîmoise Femmes Solidaires, en partenariat avec CLARA-Magazine, et est exposée, dès le 1er mars, à la médiathèque Léon-Alègre. La seconde valorise “ces femmes qui résistent”, au centre d’art rhodanien, rue Fernand-Crémieux, dès le lundi 4 mars.
L’association Femmes du Monde organise également un café littéraire, le mardi 5 à la médiathèque, sur le livre Les Femmes de Bidibidi de Charline Effah. Ce roman raconte la vie de ces femmes victimes de violences domestiques et de viols de guerre. Le jeudi, l’atelier "Rencontre-conte" prend place à la Maison des alternatives solidaires (MAS). La conteuse Cécile Acquaviva intervient sur la thématique des violences faites aux femmes. Ce moment est suivi d’un cercle de parole entre les participants et la conteuse.
Enfin, deux films seront projetés les 8 et 13 mars au cinéma 102 de Pont-Saint-Esprit. Le premier "Il reste encore demain" est une comédie dramatique italienne de Paola Cortellesi. Le film raconte le quotidien d’une femme, soumise à un mari violent, dans un quartier populaire de Rome. Cette comédie est projetée en avant-première le 8 mars, à 18 h, à Pont-Saint-Esprit.
Le mercredi 13 mars, le ciné 102 diffuse "Black Tea", d’Abderrahmane Sissako. Le scénario met en scène la vie d’Aya qui, après avoir dit non à son mariage, s’expatrie en Chine où elle tombe amoureuse de Cai, un quarantenaire qui travaille dans la même boutique qu’Aya.
Programme à retrouver ci-dessous