Publié il y a 3 ans - Mise à jour le 31.07.2021 - thierry-allard - 1 min  - vu 2260 fois

UZÈS La préfète visite l’usine et le musée Haribo

La préfète Marie-Françoise Lecaillon (à D.) a visité l'usine, le musée et la boutique Haribo d'Uzès vendredi après-midi (Photo : Thierry Allard / Objectif Gard)

Le maire d'Uzès Jean-Luc Chapon, le président d'Haribo France Jean-Philippe André, la préfète Marie-Françoise Lecaillon, le directeur de l'usine Haribo Uzès Marc Unterstock et la directrice du musée du bonbon Marina Maurin, vendredi après-midi (Photo : Thierry Allard / Objectif Gard)

Arrivée dans le Gard il y a quelques semaines, la préfète Marie-Françoise Lecaillon poursuit sa découverte de notre département. Ainsi, la représentante de l’État a fait escale à Uzès ce vendredi après-midi pour une visite de l’usine puis du musée Haribo. 

Une usine qui compte 270 salariés, et où on fabrique les fameuses fraises Tagada, les réglisses comme le Zan, produit historique de l’installation, les Car-en-Sac, mais aussi les Dragibus, les crocodiles, Schtroumpfs ou encore oursons en gélatine, rappelle le directeur de l’installation Marc Unterstock.

La préfète Marie-Françoise Lecaillon a visité l'usine, le musée et la boutique Haribo d'Uzès vendredi après-midi (Photo : Thierry Allard / Objectif Gard)

« Un fleuron », d’après la préfète, qui a tenu à venir après avoir rencontré le président d’Haribo France Jean-Philippe André lors du Tour de France à Nîmes il y a quelques semaines. « C’est une chance d’avoir dans le Gard une industrie agroalimentaire très présente avec des marques mondialement reconnues », estime Marie-Françoise Lecaillon.

L’occasion aussi pour Jean-Philippe André de, outre montrer les savoir-faire de l’entreprise, « réunir tous les partenaires. » Car en plus de la préfète, qui représente l’État, le maire d’Uzès Jean-Luc Chapon (« un partenaire historique », souligne Jean-Philippe André) et le sénateur Denis Bouad ont participé à la visite. « Nous pouvons leur expliquer où on en est, quelles sont nos inquiétudes, et nous ne pouvons pas investir sans l’appui de la mairie et des partenaires institutionnels », affirme le président d’Haribo France.

Le pass sanitaire est obligatoire pour rentrer dans le musée du bonbon d'Uzès, y compris pour la préfète (Photo : Thierry Allard / Objectif Gard)

D’ailleurs, « le musée va bénéficier d’une programme d’investissements très important », avance Jean-Philippe André. 

Thierry ALLARD

thierry.allard@objectifgard.com

Thierry Allard

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