Publié il y a 17 jours - Mise à jour le 30.08.2024 - Propos recueillis par Lïana Delgado - 2 min  - vu 860 fois

OAC Nicolas Benezet : « J’ai du mal à envisager d’arrêter le football »

Nicolas Benezet Philippe Mallaroni

Nicolas Benezet au côté de Philippe Mallaroni, manager général du club.

- OAC

Nicolas Benezet, formé au Nîmes Olympique et ayant joué pour ce club, a rejoint l'OAC. Il partage ses premières impressions et explique son choix.

Objectif Gard : Qu'est-ce que ça vous fait de signer à Alès ?

Nicolas Benezet : Je suis vraiment content. L’OAC est un club ambitieux, même s’il est redescendu en N3, il veut rapidement remonter. En plus, je reste près de ma famille, ce qui est très important pour moi. Pendant des années, j’étais dans des clubs assez éloignés, ce qui rendait les visites difficiles. Maintenant, je peux enfin exercer mon métier tout en voyant ma famille régulièrement. Je peux aussi pleinement me consacrer à ma société MC Protech. C’est un choix dont je suis très heureux.

Le fait d'être père a-t-il influencé votre décision ?

C'est certain que ça a joué un rôle. Depuis la naissance de mon fils, ma vie a changé. Le fait de signer à l’OAC me permet de le voir grandir, ce qui est une priorité pour moi.

Nicolas Benezet Philippe Mallaroni
Nicolas Benezet au côté de Philippe Mallaroni, manager général du club. • OAC

Pouvez-vous nous raconter les coulisses de votre signature ?

Tout s'est fait grâce à mon père (Michel Benezet, ancien entraîneur de l'OAC entre 2006 et 2008, NDLR), qui connaît très bien le directeur sportif, Jean-Marie Pasqualetti, que je connais aussi. Mon père nous a mis en contact, et dès le lendemain, on s’est rencontrés, puis j’ai signé le jour suivant. Tout s'est passé très rapidement car toutes les conditions étaient réunies pour que je puisse signer. Sans prétention aucune, je pense qu’Alès ne s’attendait pas forcément à pouvoir me recruter, mais l'idée m'a plu, d’autant plus que mon père connaît bien le club et ses dirigeants. Le projet m’a convaincu. (relire ici)

Pensez-vous qu’il s’agit de votre dernière aventure à 33 ans ?

Je ne sais pas si c’est mon dernier club, mais si le projet sportif se passe bien, pourquoi ne pas prolonger une année de plus avec Alès ? Ce qui est sûr, c’est que j’ai du mal à envisager d’arrêter le football. Mon objectif est de jouer le plus longtemps possible en restant performant, tout en prenant soin de ma famille. 

Propos recueillis par Lïana Delgado

OAC Alès

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