Publié il y a 4 mois - Mise à jour le 26.06.2024 - Yannick Pons - 1 min  - vu 10158 fois

AIMARGUES Épinglé par Mediapart, Royal Canin se défend

Royal Canin à Aimargues

- Photo Royal Canin

Alors que dans un article publié ce jeudi 20 juin, le site d’investigation Mediapart dénonce les stratégies de gestion du personnel de Royal Canin, l’entreprise gardoise historique appartenant au géant alimentaire américain Mars, a répondu à Objectif Gard.

Médiapart accuse la société Royal Canin basée à Aimargues et connue pour son engagement auprès des animaux (Cf. article Objectif Gard La vie Royal Canin) d’être beaucoup moins bienveillante envers ses employés. Selon certains d’entre eux, « N’importe qui, n’importe quand, peut devenir une cible et se faire détruire ou éjecter », écrit le journal d’investigation sur son site internet.

Environnement respectueux

L’entreprise gardoise explique qu’elle a toujours tenu à maintenir un environnement de travail respectueux, inclusif et équitable. Que le bien-être de ses employés au travail, qui ont la possibilité de venir au bureau avec leur propre animal de compagnie, a toujours fait partie de ses priorités. « Nous sommes très attentifs à nos collaborateurs et mettons tout en œuvre pour soutenir au mieux chacun d’entre eux. Nous nous efforçons de créer un environnement de travail permettant à tous d'évoluer et de se développer », explique l’entreprise.

Ancienneté élevée

La filiale du groupe Mars indique également que l'ancienneté moyenne de ses collaborateurs est supérieure à la moyenne nationale des entreprises de plus de 500 salariés, alors qu’elle continue à développer son activité en France.

Depuis 2020, Royal Canin a mis en place des groupes de salariés volontaires afin de promouvoir l'inclusion au sein de l'entreprise (Pride, Generations, Women in Leadership, Mission Handicap, Cultures et Origines). « Nous continuons à nous concentrer sur la création des meilleures conditions de travail possibles pour nos collaborateurs, en veillant à ce que tout le monde soit écouté et en prenant en compte chaque retour », conclut l’entreprise Aimarguoise qui se défend bec et ongles.

Yannick Pons

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