Les autorités ont procédé la semaine dernière à des arrestations dans le cadre d'un dossier " d'assocation de malfaiteurs terroriste criminelle", et "fabrication non autorisée d'explosif en relation avec une entreprise terroriste. Trois étudiants, âgés de 19 ans et 20 ans, ont été mis en examen et écroués à Paris comme l'avait requis le parquet national antiterroriste indique le journal "Le Parisien" qui a révélé l'affaire. Une enquête préliminaire était ouverte depuis le 20 novembre. 

Les trois étudiants ont été interpellés par les policiers de la DGSI qui suspectaient un projet d'attentat qui était à "un stade avancé", selon le Parisien... Les enquêteurs auraient d'abord repéré dans le cadre de surveillances administratives un étudiant en informatique de l'université de Nantes. Un garçon en relation avec des personnes fichées S et avec un autre étudiant nantais.

C'est par ces contacts qu'un nîmois va apparaître et figurer dans le trio arrêté la semaine dernière. C'est selon nos renseignement au quartier de Pissevin à Nîmes, que cet étudiant en psychologie de 19 ans a été appréhendé. Il a quitté immédiatement le Gard avec la DGSI pour une garde à vue de plusieurs jours à Paris. Outre les réseaux sociaux et les applications, les trois jeunes se sont rencontrés également physiquement notamment à Montpellier.

Un des impliqués serait très intéressé par la chimie et ils auraient ensuite fabriqué et testé une bombe artisanale, poursuit le journal d'Ile de France. Les trois mis en examen ont été écroués tandis que les investigations se poursuivent...