(Publireportage) Implanté à Bagnols depuis plus de 25 ans, Regar industries regroupe les entreprises locales du BTP au service des professionnels comme des particuliers. Christophe Laratta, 37 ans, et Ange Blondeau, 30 ans, ont repris le regroupement d’entreprises il y a sept mois avec un but : démontrer que les savoir-faire locaux peuvent relever tous les défis lorsqu’ils travaillent main dans la main. 

Au départ, il y a désormais un peu plus d’un quart de siècle, Regar Industries était une association. Son but : permettre aux entreprises locales, en les regroupant, d’avoir leur mot à dire sur les gros appels d’offres, qui étaient alors la chasse gardée des multinationales. « C’est l’ancêtre de Grisbi », résume Ange Blondeau, directeur général de Regar industries. Grisbi, l’association des entreprises du bâtiment, des services et de l’industrie du Gard rhodanien. 

Depuis, Regar industries s’est bien développé et est devenu une entreprise à part entière, entrée dans une nouvelle ère avec sa reprise il y a sept mois. Le but reste le même : fédérer les savoir-faire et simplifier la vie de ses clients. « Nous gérons l’administratif, les sous-traitants, la coordination et le suivi du chantier, le client n’a qu’un seul interlocuteur et nous n’hésitons pas à retrousser nos manches quand il le faut… », explique Christophe Laratta, président de Regar industries. L’entreprise sous-traite les chantiers dont elle a la maîtrise d’oeuvre à des entreprises locales : « nous allons chercher la compétence au plus près des chantiers », affirme le directeur général.

Cette méthode a plusieurs avantages. Déjà, Regar industries fait appel à des prestataires qu’elle connaît et qui ont déjà fait leurs preuves, et engage ses assurances. Ensuite, « nous avons une grande souplesse, nous faisons des devis à la carte ou clé en main », note Christophe Laratta. Ainsi, Regar industries n’est pas difficile : « nous pouvons aller du petit au très gros chantier », ajoute-t-il. 

Des gérants jeunes mais expérimentés

Il faut dire que les deux gérants, qui ont donc repris Regar il y a sept mois, connaissent le BTP comme leur poche. Ils y ont fait toute leur carrière, se sont rencontrés sur le chantier de la nouvelle ligne TGV Nîmes-Montpellier et ont travaillé ensemble, dans leurs anciennes fonctions, sur le chantier du tram’bus de Nîmes métropole. 

Cette expérience, les deux hommes la mettent aujourd’hui au service de Regar industries, qu’ils comptent redynamiser, dans une optique de renouveau. Le nouveau site internet, le changement de logo et la présence sur les réseaux sociaux en témoignent. Aussi, tout en gardant « la pièce maîtresse », l’assistante de direction Sophie Di Pierro et les artisans historiques collaborant avec Regar industries, l’entreprise s’est ouverte sur les chantiers de particuliers, comme les maisons individuelles ou les piscines. Et son offre pour les particuliers peut se résumer ainsi : on s’occupe de tout. « Nous pouvons même déposer les permis de construire, faire des plans, le client achète son terrain et ensuite nous sommes capables de tout faire de A à Z », avance Christophe Laratta.

Cerise sur le gâteau, « ce n’est pas plus cher, car nous avons des frais généraux réduits et pas d’équipe en interne », explique Ange Blondeau. Regar industries ne compte que trois personnes dans son effectif : ses deux gérants et son assistante de direction. Une structure conviviale, légère et agile alliée aux savoir-faire locaux qui permet à Regar industries d’obtenir de beaux chantiers, comme ceux des supermarchés Carrefour de Bagnols et Pont-Saint-Esprit, du laboratoire Bioaxiome de Bagnols ou encore prochainement du boulodrome de la Cèze à Bagnols, en plus de nombreux chantiers particuliers. 

Pour en savoir plus : www.regar-industries.fr.