Hier soir, sur le plateau de Bonsoir le Gard, les journalistes, sociétaires et invités ont comme d'habitude débattu d'un sujet d'actualité. Une petite séance de rattrapage pour ceux qui ont manqué l'émission. Au menu : vague de piqûres sauvages, comment faire face au phénomène ?

Après les boîtes de nuit, les bars et les concerts, les fêtes votives gardoises sont à leur tour touchées par la vague de piqûres sauvages qui gagne la France. Une jeune femme de 23 ans en a été victime, dans le bas du dos, lors de la fête votive de Saint-Hilaire-de-Brethmas, samedi dernier. Prise d’un malaise, elle s’est rendue dans la nuit à l’hôpital d’Alès avant de porter plainte au commissariat, le lendemain. Mais aucune toxine, ni produit particulier n'ont été heureusement retrouvés dans son organisme. Mais avec quinze piqûres recensées par la police nationale au cours de la feria d’Alès, ce week-end, le phénomène semble s’accentuer. Sans compter la demi-douzaine de cas constatés par ailleurs depuis le début du mois de mai. À l’approche de la feria de Pentecôte, l’inquiétude monte d’un cran chez les services de police et de secours. Comme d’habitude, le niveau de sécurité sera porté à son maximum pendant le week-end de fête. La ville de Nîmes proposera également des couvercles de protection anti-drogue pour les gobelets, comme l’a fait celle d’Alès, en réaction à cet autre mode d’injection de toxines en cours en France. Vague de piqûres sauvages, comment faire face au phénomène ?

Le débat en vidéo :