SAMEDI DE RIRE Veolia, football et immobilier… Le meilleur de vos commentaires !
Comme chaque samedi, nous avons pris un grand plaisir à collecter les petites perles et réflexions que vous nous laissez sur notre page Facebook ou directement sur le site.
On commence la semaine par le commentaire de Georges qui, dans notre fait du jour consacré à l’obtention par Véolia du marché de l’eau à Nîmes, a relevé une petite faute d’orthographe. « Dans votre article, écrit-il, il est noté : « L’assistance à maîtrise d’ouvrage que vous avez choisie, EGIS, est une société liée à Véolia ! Le VERRE est dans le fruit ! » Effectivement, à force d’écrire sur Véolia et la Saur, notre journaliste – qui a peut-être la tête sous l’eau – a confondu « verre » et « ver ». Mais Georges, décidément très inspiré, suggère une autre explication : « C’est vrai que trop de verres cela peut monter à la tête ». Et de conclure : « Boire ou écrire, il faut choisir ! ». Ou faire les deux, avec un bon correcteur orthographique…
Pas de flair !
Cette semaine était aussi l’occasion d’apprendre qu’il n’y a pas que la sénatrice Vivette Lopez qui vient de Mus. Fier de son village, l’avant-centre du Nîmes Olympique, Clément Depres, nous a accordés une interview dans laquelle il déclare : « J’ai mis Mus sur la carte de France ». Un article publié mercredi matin, quelques heures avant la rencontre face à Angers. Et si l’on devait remettre la palme du commentateur qui n’a pas eu le nez creux, elle reviendrait incontestablement à Julien qui écrit : « Il ferait mieux de mettre des BUTS ». Ce que Clément Despres, titulaire d'entrée, fera quelques heures plus tard sur la pelouse des Costières en inscrivant deux buts ! Anne Mary et Véronique prendront un malin plaisir à le faire savoir au malheureux commentateur. Hélas, le plus malheureux de la soirée est certainement l’attaquant nîmois sorti sur une grave blessure au genou.
Un jeune entrepreneur
Dernier sujet qui vous a beaucoup inspiré, celui de cet adolescent qui a déclaré qu’il vendait de la drogue pour investir dans l’immobilier. « Encore un qui voulait se lancer dans le commerce et qui est empêché… », ironise Geneviève. « Mais oui ! On est con nous aussi à se lever tous les matins pour aller bosser… », constate Adeline. Amélie y va de son analyse : « Lol, il a le mérite d’être ambitieux. Retraite à 35 ans… il a compris que la vie de salarié jusqu’à 70 ans pour enrichir quelqu’un d’autre c’était pas le plus épanouissant ». Et Sand de conclure : « Un qui a tout compris à la vie. Plus la peine de traverser la rue ! » À la semaine prochaine !
Tony Duret