Une réunion au cours de laquelle le député de la 3e circonscription Anthony Cellier a rappelé qu’une première esquisse de ces Contrats de transition écologique avait été tracée par le secrétaire d’État auprès du ministère de la Transition écologique, Sébastien Lecornu. Esquisse qu’il faut désormais concrétiser et qui se fera « sur mesure », a confirmé le coordinateur national des Contrats de transition écologique, Olivier Bouchery, lors de la réunion.

C’est dans ce sens qu’Anthony Cellier a expliqué lors de la réunion que « le tissu industriel local a un rôle à jouer dans ce défi : décarboner notre économie. » Venu faire le Service après vente du Contrat de transition écologique, le parlementaire a estimé que le dispositif apporterait « un nouveau souffle » au tissu économique de sa circonscription.

Une circonscription choisie comme un des trois laboratoires d’expérimentation de ce dispositif par le ministère, ce qui va dans le sens du projet bâti par EDF à la fermeture de la centrale thermique d’Aramon. « De la fermeture d’une centrale thermique, source d’emplois et d’activité économique, nous engageons la transition de tout un territoire vers une croissance verte, aux technologies et énergies propres, pour créer de nouveaux emplois et de nouvelles compétences via la formation et pour favoriser la cohésion entre l’intégralité du tissu économique », affirme Anthony Cellier.

La signature du Contrat de transition écologique doit d’abord être précédée d’une phase de convergence, puis d’un mini Grenelle dans le cadre d’une phase de partage et enfin d’une négociation.

Thierry ALLARD