CONCOURS Alès Audace, c'est reparti !
Publi-reportage. Les porteurs de projets et entrepreneurs de l'agglomération ont jusqu'au 15 octobre pour postuler à la 5e édition d'Alès Audace. A la clé, comme l'an dernier : 130 000 € de dotations.
Le concours national Alès Audace est relancé. Les inscriptions de cette 5e édition sont ouvertes sur www.ales-audace.fr depuis le 15 juin et jusqu'au 15 octobre. Comme l'an dernier, l'agglo a décidé de porter ses dotations à 130 000 €, reversées en subventions et en service.
Le concours s'adresse à trois catégories de publics : les porteurs de projets, les jeunes entrepreneurs (entre 0 et 3 ans) et ceux qui souhaitent développer une activité déjà installée. 20 lauréats seront nominés le 14 décembre prochain, date de la remise des prix à l'espace Alès Cazot. Une dizaine seront récompensés. "Malgré la morosité ambiante, des gens y croient encore, ce concours est une bouffée d'oxygène ! Il peut même inciter des jeunes à se lancer, alors qu'ils n'osaient pas le faire avant", insiste le président d'Alès Agglo Max Roustan.
Nouveauté de cette édition 2016 : le prix du public, qui permettra aux Alésiens de voter sur Internet. Le gagnant recevra 5 000 €. "Son prix sera cumulable avec une récompense du jury, composé d’élus locaux, de représentants de monde de l’économie, du tourisme et de la culture. C'est le jeu !", annonce Annick Le Lan, directrice de l'agence de développement économique Myriapolis.
30 lauréats déjà récompensés
Depuis 5 ans, 30 lauréats ont été financés par Alès Audace et 20 d'entre eux sont encore en activité. Parmi les vainqueurs 2015, le projet d'acrobranche urbain est en bonne voie. Le permis ayant récemment été attribué, l'ouverture devrait être officialisée en fin d'année. De son côté, le montpelliérain Sud Fluor posera comme prévu ses valises à Salindres en octobre prochain. Quant à Malakoff, c'est le seul qui n'a toujours pas reçu son prix. "La seule condition d'attribution est de rester sur le territoire. Or, même si ce n'est pas acté, il souhaite toujours quitter l'agglomération", déplore Annick Le Lan.
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