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Nîmes Olympique

"J'ai mal pour le NO". Après la mise à pied de Jérôme Arpinon, Bernard Blaquart, qui a été pendant quatre ans et demi entraîneur avec Jérôme comme adjoint, a accepté de réagir après cette annonce. "Je suis triste pour lui. Même si ça a été compliqué, ça lui fait une expérience. Quand les résultats ne sont pas là, on sait que l'on a pas de temps en tant qu'entraîneur, c'est la règle", a d'abord déclaré l'ancien coach nîmois. Ce dernier est également touché par les mauvais résultats actuels : "J'ai mal pour le NO mais ce n'est pas perdu. Le mois qui arrive sera extrêmement important. On a vu Lorient gagner deux, trois matches et enclencher une dynamique. Il y a encore la possibilité de sauver." Bernard Blaquart est toujours en contact avec son ancien compère à qui il pourrait donner quelques conseils pour négocier ses indemnisations de départ auprès de Rani Assaf : "Là-dessus il est plus fort que moi. Après, il est en position de force", a-t-il conclu. 

Kovac se méfie de l'effet psychologique. "Cela peut constituer un changement dans la mentalité de l'équipe. Il faudra être encore plus concentré dimanche, a prévenu l'entraîneur de Monaco en conférence de presse au sujet du changement d'entraîneur opéré au Nîmes Olympique. En tant que coach, je suis forcément triste qu'un confrère perde son poste. J'espère qu'il trouvera un nouveau banc." Côté effectif, seul Gelson Martins devrait manquer côté monégasque. Sorti suite à un mauvais coup mercredi lors de la victoire contre Nice (2-1), Benoît Badiashile a repris l'entraînement et devrait être disponible. Ce match dimanche (15h) face à l'ASM sera le dernier des Crocos diffusé sur la chaîne Téléfoot. À compter de la 25e journée, la Ligue 1 sera diffusée intégralement sur Canal + qui a obtenu en exclusivité les droits pour la fin de saison. Le déplacement de Nîmes à Dijon, le dimanche 14 février à 15h sera à suivre en multiplex sur Canal + Sport et sur un des canaux Multisports.

OAC

Un week-end en Nouvelle-Aquitaine. Ce dimanche à 14 heures, les joueurs de l'Olympique d'Alès en Cévennes se déplacent à Panazol (R2), près de Limoges, à l'occasion du 7e tour de Coupe de France, sept jours après avoir battu le FU Narbonne (2-3). Pour ne pas arriver trop engourdis en Haute-Vienne le jour du match après un trajet de plus de cinq heures, les hommes de Stéphane Saurat partiront la veille, après avoir passé le 2e test PCR de la semaine tôt dans la matinée. Les joueurs dormiront donc à l'hôtel samedi soir et rentreront le lendemain après le match, en soirée, profitant de leur dérogation professionnelle. Pour ce déplacement ô combien important, le technicien cévenol peut compter sur l'essentiel de son groupe, à l'exception de son habituel capitaine, Aïssam Fadil. Touché au genou, le milieu de terrain va être opéré du ménisque et sera absent plusieurs semaines. En cas de qualification, l'OAC se déplacera à nouveau et affrontera le vainqueur du match opposant Saint-Liguaire à Trélissac.

Étoile de Bessèges

Wellens prend une option. Vainqueur en solitaire de la 3e étape de l'Étoile de Bessèges, le coureur belge de l'équipe Lotto-Soudal Tim Wellens prend une belle option sur la victoire finale. Les premiers kilomètres vallonnés de la course du jour sont parcourus à grande vitesse. Rapidement, un groupe de 17 coureurs prend la poudre d'escampette pour former une échappée royale. Parmi elle figurent notamment les stars d'Ineos Egan Bernal et Michal Kwiatkowski, ou encore le Belge Philippe Gilbert, coéquipier du vainqueur du jour. Côté Français, Bryan Coquard a flairé le bon coup, tandis que le leader du classement général, Christophe Laporte, n'a pas pu suivre. Profitant d'une seconde partie d'étape moins difficile, ses coéquipiers au sein de l'équipe Cofidis ont bien tenté d'organiser le peloton pour revenir, mais les hommes forts du jour sont bien devant et comptent plus d'une minute trente d'avance à 20 kilomètres de la ligne d'arrivée. La victoire se jouera à 17 et si Coquard espère un sprint, Kwiatkowski puis Theuns tentent de se faire la malle. C'est finalement Wellens qui place l'attaque la plus tranchante à 7 kilomètres de l'arrivée. Spécialiste de ce type d'effort, le Belge fait rapidement le trou malgré les relais de Bernal dans le groupe des poursuivants. Impressionnant dans le final, Tim Wellens coupe finalement la ligne 37 secondes devant son compatriote Edward Theuns, vainqueur du sprint pour la seconde place. À deux jours du final à Alès, le puncheur de la Lotto-Soudal semble bien parti pour remporter l'Étoile.

USAM

Deux matches en deux jours ? Le déplacement à Chartres, ce soir, constitue le premier des neuf matches qui attend l'USAM jusqu'au 2 mars. Une rencontre tous les trois jours pour alterner entre le championnat et la coupe d'Europe. Une compétition où Nîmes doit disputer un match en retard face à Berlin au Parnasse. Ce match devrait très certainement être programmé le 24 février soit le lendemain de la réception de Bucarest. Deux matches en deux jours, un fait rarissime que devrait pourtant validé l'EHF. Avant ces échéances, 16 joueurs sont partis à Chartres dont 11 pros puisque Minel, Dupuy, Salou, Nieto, Paul et Poyet sont forfaits.

Les 16 joueurs retenus : Desbonnet, Gouazé; Rebichon, Vincent, Acquevillo, Hesham, Derisbourg, Nyateu, Guigou, Tobie, Kavticnik, Gibernon, Tesio, Sanad, Gallego, Joblon. Match diffusé sur LNH TV.