NÎMES L'échange de jeunes pour rester dans le coup
Les échanges offrent à des groupes de jeunes de différents pays l’occasion de se rencontrer. Ces rencontres ont une visée éducative et nécessitent une implication des jeunes à toutes les étapes du projet.
Bienvenue à la Maison de l'Europe. Ici, vous allez voyager même sans le vouloir ! Déjà, regardez attentivement toutes les possibilités qui s'offrent à vous. Parlons de l'échange de jeunes... Subventionné en partie par le programme Erasmus + il faut, exceptionnellement, compter des frais de participation qui peuvent être demandés.
Lors d’un échange, les jeunes organisent une série d’activités (comme des ateliers, débats, jeu de simulations, activités de plein air…) autour d'un thème d'intérêt commun. Le projet peut aborder des domaines très divers : lutte contre les exclusions, le racisme et la xénophobie, art et culture, environnement, protection du patrimoine, médias et information des jeunes, santé, économie solidaire, sport...
La Maison de l’Europe de Nîmes est fortement impliquée dans le programme Erasmus+. En plus d'être accréditée pour l’envoi, l’accueil et la coordination de jeunes en Service volontaire européen, elle organise et participe au montage d’échanges de jeunes. En septembre 2015, le premier échange de jeunes de la Maison de l'Europe s'est déroulé à Nîmes en présence de 35 jeunes venus de sept pays européens différents. Après ce franc succès, la Maison de l'Europe continue à proposer des échanges de jeunes dans la région. Depuis ? La Maison s'est perfectionnée et a acquis une expérience qui n'est pas à négliger.
Erasmus+ encourage ainsi la mobilité des jeunes, quel que que soit le niveau de diplôme ou de formation, et des travailleurs de jeunesse pour apprendre et acquérir des compétences et aptitudes professionnelles, dans un autre pays. Vous avez trois belles possibilités, les échanges de jeunes (5 à 21 jours, maximum 60 participants âgés de 13 à 30 ans), le service volontaire européen (2 à 12 mois, 17-30 ans – conditions spécifiques pour les jeunes ayant moins d’opportunités) et la mobilité des professionnels de jeunesse (2 jours à 2 mois – formations, séminaires, job-shadowing).