NÎMES Les acteurs du tourisme d’affaires réunis avant l'ouverture du centre des congrès h2
Cette réunion a permis aux professionnels de connaître l’état d’avancement de la réalisation, mais surtout les actions menées en termes de promotion et de commercialisation.
Réunis ce mardi dans l’amphithéâtre du musée de la Romanité, les professionnels de la destination ont participé à cette première réunion de coordination, dans la perspective de l’ouverture du h2 centre des congrès de Nîmes. Voulue par Jean-Paul Fournier, maire de Nîmes, pour lequel « le tourisme est un moteur essentiel du développement économique et donc des entreprises », cette réunion a permis aux professionnels de connaître l’état d’avancement de la réalisation, mais surtout les actions menées en termes de promotion et de commercialisation.
Julien Plantier, 1er adjoint délégué à l’Urbanisme, en dit plus : « Le centre des congrès et les nouveaux aménagements dont la piétonisation et l’extension du jardin archéologique, permettront la restructuration du quartier, nouveau cœur de ville, dans un périmètre culturel regroupant les arènes, le musée de la Romanité et celui des Cultures Taurines ». Sophie Roulle, adjointe déléguée à la Culture, complète : « Le Centre des Congrès a aussi été pensé pour accueillir une programmation culturelle et artistique en plus de celle d’affaires qui sera privilégiée et prioritaire. »
Xavier Douais, adjoint délégué au Tourisme, conclut : « Cette réunion permet de lancer la nécessaire collaboration entre les acteurs, au sein de l’écosystème touristique plus particulièrement ici en termes de tourisme d’affaires. (...) Ce nouvel outil a pour objectif de développer l’activité « MICE » ou tourisme d’affaires afin de compléter avantageusement l’activité de celle des loisirs, plus saisonnière ».
Les professionnels ont unanimement manifesté leur enthousiasme et leur conviction de l’intérêt de ce nouvel équipement pour l’attractivité de la destination. Ils ont pu par ailleurs apprécier les méthodes de collaboration proposées, ainsi que les premiers retours mesurés sur l’impact de ce nouvel outil, tant en France qu’à l’international.