PONT-ST-ESPRIT Les travaux d’accessibilité du centre Pépin côté Doumergue vont commencer
La mairie de Pont-Saint-Esprit poursuit son plan de rénovation et de mise aux normes du centre Pépin avec une phase qui, pour la première fois, va impacter plutôt lourdement la circulation.
En effet, « nous allons casser le passage actuel de l’avenue Gaston-Doumergue pour gagner une soixantaine de centimètres, explique l’adjoint aux travaux Vincent Rousselot. On élargit tout le cheminement, on reprend certaines devantures de commerces, car nous restons propriétaires des locaux, et la pente de sortie du bâtiment va être modifiée. » Le tout dans un objectif de mise aux normes d’accessibilité aux personnes en situation de handicap au bâtiment. Par ailleurs, les places de parking situées au début de l'avenue devant le centre Pépin ne seront plus en épi mais en long, et il y en aura de fait deux de moins.
Une partie de l’avenue en sens-unique
Des travaux qui vont démarrer dès lundi, pour une durée de trois mois. Trois mois qui s’annoncent quelque peu perturbés sur la partie de l’avenue Gaston-Doumergue au droit du centre Pépin, puisque cette partie va passer en sens unique le temps des travaux. « On ne pourra que descendre, depuis la gare vers le centre-ville », précise l’adjoint. L’avenue sera en sens unique à partir de l’angle de la Société Générale.
Du coup, deux itinéraires de déviation pour les poids-lourds sont mis en place, du rond point de l’Europe jusqu’à l’intersection entre l’avenue du Général de Gaulle et la rue du commando Vigan-Braquet dans le sens nord-sud, et du rond-point de la porte sud jusqu’à l’intersection entre l’avenue du Général de Gaulle et la rue du commando Vigan-Braquet dans le sens sud-nord. A partir de la rue du commando Vigan-Braquet, les poids-lourds suivront la déviation jusqu’à l’intersection entre la rue du docteur Samuel-Hahnemann et la rue du 8 mai 1945.
Précisons que l’accès aux commerces sera maintenu durant les travaux, sachant de plus que certains d’entre eux ont aussi une entrée côté cour.
Des travaux qui coûteront 210 000 euros TTC, financés par la commune, la région, les fonds de concours de l’agglo du Gard Rhodanien et la Dotation d’équipement des territoires ruraux de l’Etat.
Thierry ALLARD