Le vendredi 20 septembre, la conférence animée par Noëlle-Louise Marti ouvre le bal, salle Vincent-Scotto, boulevard Gambetta.

Taureau sacrificiel

Loin d'une soudaine émergence, le culte persan de Mithra est issu de très anciennes origines. Des ornements pariétaux, dans les lieux fréquentés à la préhistoire, l'attestent. Stylisé, schématisé, réaliste, idéalisé, personnalisé, le mufle taurin a été décliné depuis des millénaires.

Animal sacrifié, il fut l’un des indispensables rituels du culte voué à Mithra. Qu’il y avait-il vraiment derrière ces croyances empreintes de mystères ? A-t-on réussi de nos jours à savoir qui étaient les pratiquants, les officiants, et où se déroulait ce culte qui interpelle autant qu’il suscite de curiosité ?

Parmi les pratiques cultuelles de l'Antiquité, celle de Mithra a occupé une place prépondérante. Il n'en subsiste que quelques traces archéologiques, mais peu d'écrits. L'histoire de Lucius, d’Aurèle, et de leurs compagnons, se situe au moment de l'interdiction de ce cérémonial religieux, par l'application de divers édits impériaux. La société était alors en mutation d'us, de coutumes, de courants de pensées et de croyances.

Circuits de rues

Le samedi 21 septembre, devant la plaque de la rue Folco-de-Baroncelli à 10 h 30, aura lieu l’inauguration du circuit des rues de la ville : présentation des 15 plaques avec les anciens noms de rues en français et en provençal, avec QR code. Ainsi que le dévoilement de la plaque du Plan de la Glèiso.

À 11 h, ouverture des arènes et du toril lors d’un atelier Autour du frontal proposé aux petits raseteurs en herbe, avec la participation de Kévin Blanc et de l'école de raseteurs Terre de Camargue KB. La visite commentée du toril sera faite par par Cédric Miralles.