Philippe Berta, député du Gard et membre de la Commission des affaires culturelles et de l’éducation à l’Assemblée nationale s’est rendu au Pont du Gard pour une réunion de travail avec le Président de l’Etablissement Public de Coopération Culturel (EPCC) gestionnaire du site, Patrick Malavieille et son directeur Sébastien Arnaud, ainsi que les agents, autour du développement et de la stratégie culturelle, touristique et éducative de ce lieu d’attraction majeur du territoire gardois.

Le Président Malavieille a rappelé au député les chiffres de fréquentation de l’aqueduc romain, la nouvelle politique tarifaire mise en place, les investissements menés ainsi que la nécessaire optimisation des recettes commerciales.

La cible touristique demeure la jeunesse et les familles, d’où l’importance du développement du volet pédagogique comme la préservation environnementale autour du site. Des valeurs fortes que porte également l’UNESCO qui a inscrit, en 1985, ce bien au patrimoine mondial.

« Il faut construire l’Histoire et créer des liens et solidarités autour de l’aqueduc » suggère le député Berta qui précise : « Je m’associe pleinement à la démarche d’une relance culturelle et commerciale du site, par la nouvelle équipe, pour que le Pont du Gard parvienne enfin à l’équilibre financier et joue pleinement son rôle moteur de développement touristique. »

Et de rappeler que le musée de la romanité qui ouvrira ses portes au printemps à Nîmes ainsi que la gare TGV de Manduel devront indispensablement lier leur destin au Pont du Gard pour tirer vers le haut le tourisme dans le département.