Publié il y a 23 jours - Mise à jour le 08.03.2025 - Anthony Maurin - 2 min  - vu 173 fois

L’ŒIL DANS L’OBJECTIF L'actualité de la semaine en images

La dernière feria de la Primavera à Nîmes en 2005 (Photo Archives Anthony Maurin)

La dernière feria de la Primavera, sous la bulle, à Nîmes en 2005 (Photo Archives Anthony Maurin)

Chaque samedi, à midi, Objectif Gard vous propose de jeter un œil dans le rétro et de revenir en images sur l'actualité de la semaine écoulée.

L'hommage à Fanfonne Guillierme s'est déroulée en partie à l'Eglise Saint Saturnin d'Aimargues
L'hommage à Fanfonne Guillierme s'est déroulée en partie à l'Eglise Saint Saturnin d'Aimargues • Corentin Dimanche

L'hommage à Fanfonne Guillierme sous le soleil et l'amour des traditions. Une nouvelle fois, l'hommage à la "Dame de Camargue" s'est tenu le premier dimanche de mars, et une nouvelle fois, il a réuni des centaines d'aficionas. À l'image des couleurs azur et or de la manade de Fanfonne Guillierme, le ciel et le soleil auront été présents toute la journée, ce qui a permis aux festivités de se dérouler comme prévu à Aimargues.

La dernière feria de la Primavera à Nîmes en 2005 (Photo Archives Anthony Maurin)
La dernière feria de la Primavera, sous la bulle, à Nîmes en 2005 (Photo Archives Anthony Maurin)

NÎMES 20 après, la bulle manque. La bulle ? C’était la couverture qui permettait que les arènes puissent accueillir concerts et événements en hiver. Pendant plus de 15 ans, de 1988 à 2005, la « bulle » était une salle à part entière pouvant abriter près de 7 000 spectateurs d’octobre à avril. À plus de 10 mètres de haut par rapport à la piste et soutenue par 30 poteaux, la double membrane donnait un certain charme aux spectacles, mais elle faisait trop de mal aux vieilles pierres abimées par deux millénaires. D’octobre à avril, 7 000 places, rien de plus logique pour une ville de la taille de Nîmes d’avoir une telle salle ! Elle manque terriblement car depuis 20 ans, plus de bulle et, par conséquent, plus grand-chose en hiver de la maille d’un spectacle à la mesure de la salle.

Une partie de la forêt est divisée en lots d'affouage, ce qui permet un entretien à peu de frais • François Desmeures

À Barjac, la lutte accélérée des forestiers contre le réchauffement climatique. Dans la forêt communale de Barjac, gérée par l'Office national des forêts (ONF), les forestiers constatent depuis quelques années un dépérissement accéléré, notamment des pins noirs, épicéas et de certains chênes verts. Pour eux, le lien est évident avec le réchauffement climatique. Au quotidien, ils adaptent leur gestion à cet élément incontournable. "Aujourd'hui, le bois n'est plus exploité comme avant. Il n'est plus régénéré", explique David Massa, responsable de l'unité territoriale Cévennes-Cèze de l'Office national des forêts (ONF) alors qu'il monte vers une portion de la forêt communale de Barjac. Un premier secteur des 808 hectares de cette forêt que gère l'ONF, sur lequel "il y a eu des plantations de pins noirs d'Autriche dans les années 80, explique Raphaël Raymond, technicien forestier. L'objectif était de planter des résineux, pour la fabrication de papier. On était en pleine crise du papier et on avait trois classes de pins subventionnés, alors que le chêne vert ne se vendait plus."

Venue passer le week-end à Arles, cette famille perpignanaise s'est laissée emporter par la folie du carnaval.  • S.Ma

Le carnaval d'Arles, un défilé haut en couleurs. Il y avait foule le long du boulevard des Lices ce dimanche 2 mars. C'était jour de carnaval, un événement organisé par la Ville d'Arles. Cette année, direction l'Amérique du Sud en compagnie des clubs et associations Exotica Danse, Jambe Dlo, Les Lyons Twirl d’Arles « Pompons » et « Bâtons », Capoeira Arles et Avignon, Viagem Samba et la compagnie les Panathénées. Les enfants de la maison de quartier de Griffeuille et du centre social Christian-Chèze de Barriol ont également défilé dans les rues d'Arles. Puis tout ce joli monde accompagné du public, s'est retrouvé sur la place de la République pour assister à des spectacles et partager un goûter offert par la municipalité. Et en plus le soleil était de la partie...

Anthony Maurin

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