Publié il y a 1 an - Mise à jour le 17.12.2022 - Anthony Maurin - 2 min  - vu 585 fois

NÎMES Les chiffres 2021 du Musée de la romanité

Le Musée de la Romanité (Photo Archives Anthony Maurin).

Le bilan de l'année 2021 pour le Musée de la romanité est acté. Des chiffres satisfaisants dans une situation peu évidente. N'oublions que l'on parle de 2021 !

Le Musée de la romanité, inauguré et ouvert au public en juin 2018, a reçu depuis près de 540 000 visiteurs. Toujours la même année, la fréquentation totale s’élève à 77 636 visiteurs, soit une augmentation de 18 % par rapport à 2020 et une baisse de 65 % sur 2019. La part des billets musée (44 347) augmente et passe de 71,1 % à 76,39 %, quand les billets partenaires (8 576) sont en diminution et passent de 20,3 % à 14,77 %.

Le Musée de la romanité (Photo Anthony Maurin).

La répartition des tarifs des entrées simples reste stable avec 74,45 % d’adultes pour 17,88 % d’enfants et 7,68 % d’étudiants. La part des billets vendus en ligne augmente passant à 8 % en 2021 (+1 % / à 2020). La part des billets d’entrées gratuits reste stable avec tout de même 6 230 personnes, soit 11 % du total de tous les billets individuels.

Les cinq départements français les plus représentés sont le Gard en tête avec 26 % des visiteurs, puis viennent l’Hérault 8 %, Paris 7 %, les Bouches-du-Rhône 5 %, et le Rhône avec 3 %. La part des étrangers est remontée en 2021 (passant de 7 % en 2020 à 11 % l’année dernière). Les cinq pays étrangers les plus représentés sont quant à eux la Belgique 18 %, l’Allemagne 15 %, l’Espagne 12 %, la Suisse 11 % et la Grande Bretagne 9 % qui ne semble pas effrayée par le Brexit.

Le chiffre d’affaires en billetterie pour la totalité des produits « individuels » vendus au musée s’élève à plus de 366 961 euros (contre 293 760 euros en 2020) soit en hausse de 25.

Au 31 décembre 2021, l’équipe du musée était composée de 28 personnes. Dans sa globalité, le résultat de l’exercice 2021 est positif de 123 789 euros soit plus de 11 678 en plus par rapport à 2020.

Sur la rue de la République, à côté du Musée...

C’est le groupe Sowell qui doit réaliser deux projets hôteliers en lieu et place du futur ancien hôtel de la CCI.

La parcelle en question ici en 2017 (Photo Archives Anthony Maurin).

L’un des projets se situe sur une partie d’une parcelle mais pas sur son entièreté. Le passage public existant restera affecté au domaine public communal. De plus, ce découpage nécessite que le principe de désaffectation et de déclassement du domaine public préalable soit approuvé sur la parcelle. Cette approbation de principe devra faire l’objet d’une délibération définitive avant réitération de l’acte notarié afin de constater les désaffectations et d’approuver les déclassements des biens cédés.

Le Musée de la Romanité (Photo Archives Anthony Maurin).

Anthony Maurin

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