HBCN Retour sur une soirée de gala avec les "indomptables"
Hier soir, les joueuses du HBCN, surnommées les "indomptables", ont été présentées aux partenaires, à la presse ainsi qu'aux intitutionnels. La soirée se déroulait dans le cadre prestigieux du golf de Nîmes Campagne.
Une centaine de personnes réunies pour apercevoir et même approcher une quinzaine de lionnes réputées "indomptables" : l'affiche avait de quoi effrayer le public comme les lionnes. Pourtant, la soirée a été un succès et l'occasion pour certains de se familiariser avec l'élite du handball féminin. Toutes les stars du club étaient présentes : Camille Ayglon, Blandine Dancette, Julie Goiorani ou la meilleure joueuse du championnat de la saison dernière Mouna Chebbah.
Toutes vêtues de noir, en robes de soirée, les joueuses entraînées par Christophe Chagnard ont monté les marches de la "White Home", la petite maison blanche nîmoise du golf de Campagne. Bien sûr, on pouvait s'y attendre, elles n'ont pas eu la chance d'entendre le discours d'un président américain mais celui des hommes politiques locaux. C'est déjà ça. Julien Plantier, en sa qualité d'adjoint aux sports à la mairie de Nîmes, a assuré que le club pourrait compter sur la ville de Nîmes. Yvan Lachaud, président de Nîmes Métropole, a souligné "le travail sur la formation". Quant à Amal Couvreur, conseillère départementale du canton de Nîmes 2, elle a reconnu n'avoir jamais assisté à un match de handball de sa vie - c'est honnête - mais assure connaître les joueuses mieux qu'elles ne le pensent. Pourquoi ? Parce que les joueuses du HBCN déjeunent régulièrement dans un restaurant de la place Montcalm et il se trouve qu'Amal Couvreur mange au même endroit... Forcément, ça crée des liens !
Enfin, le président du HBCN, Bertrand Roux, s'est dit "confiant pour l'avenir" et s'appuie sur la première victoire obtenue la semaine dernière contre Dijon. Mais, d'après lui, le premier test aura lieu demain, à 20h, à Toulon :"Ce sera l'occasion de voir ce que l'on vaut". Aux "indomptables" désormais d'assumer leur surnom sur le terrain.
Tony Duret