NÎMES Tirs à l’automatique au Chemin-Bas : l'un des trois suspects trahi par son ADN
Les interrogatoires des trois suspect interpellés, hier matin, se prolongent dans les locaux de la Sûreté départementale de Nîmes, jeudi 21 avril. D'autres tirs sont reprochés à l'un d'entre eux, trahi par son ADN.
Placés en garde-à-vue pour « violence avec arme sans ITT » et « dégradation par moyen dangereux », les trois hommes, tous originaires du quartier, contestent toujours avoir tiré au pistolet automatique sur une voiture, le 7 décembre dernier, au Chemin-Bas. Deux d’entre eux, âgés de 33 et 21 ans, ont été interpellés en détention, et ont déjà été mis en examen pour des affaires de règlement de compte lié au trafic de drogue. Le troisième, âgé de 38 ans, interpellé mercredi matin, par le Raid, est également soupçonné d’autres tirs, sur la vitrine d’un cabinet dentaire dans le même quartier, entre le 11 et le 14 décembre 2020, quelques jours après le premier épisode de tirs. Son ADN aurait été retrouvé sur les étuis découverts au sol par les enquêteurs.
Pierre Havez