« Seconde main et presque neuf, j’y tiens beaucoup, certains articles n’ont jamais été portés », précise-t-elle. Cette alésienne d’origine, qui a passé trente ans à Paris où elle tenait un salon de beauté, a toujours été passionnée de mode. Alors c’est tout naturellement qu’elle a ramené de Paris une imposante collection, comprenant « des pépites atypiques », comme elle dit, de grandes marques comme Karl Lagerfeld, Dior ou Dolce & Gabbana.

Mais Laure Marx ne vend pas que des pièces de sa collection personnelle : « j’ai des pièces de mes amies, d’autres issues de magasins en faillite, et mon mari, qui est brocanteur, en achète aussi aux enchères », précise-t-elle. Dans sa boutique, elle vend aussi quelques objets chinés par son mari Daniel, des figurines, des vieux téléphones ou encore des bijoux.

Avec une volonté : « avoir de tous les styles et de tous les prix », affirme-t-elle, prenant l’exemple des chaussures qu’elle vend, dont la gamme va de 15 à 350 € pour les plus belles pièces. Des articles qui, quoi qu’il arrive, sont vendus à prix cassés. L’occasion de « s’offrir des belles pièces pour la moitié de leur prix », résume Laure Marx.

« Caprices » est ouvert du mardi au samedi de 11h à 19h au 18 boulevard Charles-Gide, à Uzès.