"L’Homme qui voulait vivre sa vie", "Les désarrois de Ned Allen" (1998), "La Poursuite du bonheur" (2001), "Cinq jours" (2013)... On ne compte plus les romans à succès de Douglas Kennedy. Depuis la parution de son premier ouvrage "Cul de sac" (1994), il enchaîne les réussites. Souvent haletants et authentiques, ses écrits posent aussi les questionnements profonds sur la société, ses moeurs, ses croyances, ses ancrages...

Douglas Kennedy parlera également à Uzès de son nouveau roman "Et c'est ainsi que nous vivrons", sorti le 1er juin. L'ouvrage dystopique plonge le lecteur en 2045, à l'heure où les États-Unis n'existent plus, redessinés par une nouvelle guerre de Sécession. Sur les côtes Est et Ouest, a été établie République néanmoins très surveillée, mais au centre, c'est désormais une Confédération aux valeurs chrétiennes, où il est interdit de divorcer, d'avorter...  Les pages narrent l'histoire de Samantha Stengel, une agente des services secrets de la République, qui va passer de l'autre côté de la frontière alors que les deux blocs redoutent une infiltration de part et d'autre. 

Douglas Kennedy est invité à Uzès, dans le cadre des rencontres mensuelles de l'association des Amis de la librairie de la place aux Herbes. L'écrivain, qui parle français, échangera avec Vincent Nouzille, devant le public de l'Ombrière, à partir de 19h. La rencontre sera suivie d'un temps de dédicace. 

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