L'OEIL DANS L'OBJECTIF L'actualité de la semaine en images
Chaque samedi, à midi, Objectif Gard vous propose de jeter un œil dans le rétro et de revenir en images sur l'actualité de la semaine écoulée.
Faire revivre l’idéal populaire de Jacques Sadoul. Les avocats du Diable Vauvert lancent un nouveau prix, audacieux et à contre-courant. Si la science-fiction est arrivée en France et si elle a pris un tel essor, c’est grâce à des personnages comme Jacques Sadoul. Le prix Jacques Sadoul sera celui de l’ouverture. Ce prix littéraire sera élargi pour s’adresser à plus d’auteurs, à de grands éditeurs et il ouvre aux Avocats du Diable de belles perspectives avec un joli partenariat avec la maison J’ai lu. Éditrice de la maison Au Diable Vauvert et co-fondatrice de l’association des Avocats du Diable, Marion Mazauric avait à cœur de rendre l’hommage qu’il fallait à l’un de ses mentors.
ALÈS Une cérémonie pour dévoiler l'agenda 2024 de la ville. Le 32e agenda est arrivé à la mairie d'Alès et comme le veut la tradition, une cérémonie s'est tenue à l'Hôtel de ville, pour remettre ces indispensables outils de travail à plusieurs centaines de personnes.
BAGNOLS/CÈZE La paroisse organise des rencontres mensuelles pour sortir les malvoyants de l’isolement. Trop souvent, au handicap s’ajoute la solitude. Alors la paroisse de Bagnols organise tous les mois depuis juin dernier des rencontres entre des personnes malvoyantes et non-voyantes aux caves Béthel, à côté de l’église Saint-Jean-Baptiste. « Je suis malvoyant et seul, donc dès que je peux rompre la solitude, je le fais », lance Albert, venu pour la troisième fois ce jeudi après-midi. Premier arrivé, le retraité aime ces échanges avec d’autres personnes souffrant du même handicap que lui. On y parle de tout : la fête des lumières de Lyon, le covid, mais aussi des sujets plus locaux, comme les problèmes de mobilité pour les personnes en situation de handicap.
L’école Léo Rousson : un chantier sous haute surveillance. Des artisans menacés et contraints de faire appel à une société de sécurité. En mai dernier, les 330 élèves du groupe scolaire Léo Rousson, situé au Clos d’Orville, ont déménagé à l’école Émile Gauzy, pour les maternelles et au centre de loisirs du Mas Boulbon pour les primaires. Léo Rousson était le dernier établissement de la ville à ossature métallique et présentait des problèmes d’incendie et de l’amiante. Beaucoup de parents d’élèves se souviennent d'ailleurs des mystérieux cas d’allergies en janvier 2018. Alors la ville de Nîmes a décidé de le détruire et de reconstruire une nouvelle école pour un montant avoisinant les 10 millions d’euros.