ÇA RESTE ENTRE NOUS Les indiscrétions de la semaine
Chaque semaine la rédaction vous propose un cocktail d’indiscrétions politiques, culturelles, économiques ou sportives. Restez connectés !
Département : la carte scolaire pourrait passer de 30 à 70 €. Pour la rentrée 2017-2018, le montant de la carte Edgard pourrait augmenter de 40 €. C’est l’une des pistes évoquées en réunion de Majorité (PS-PCF-EELV) pour boucler le budget 2016 de la collectivité auquel il manque 25 M d’€. La gauche envisage toutefois de moduler cette hausse en fonction des conditions de ressources des familles et également de mensualiser le coût de la carte. Cela nous rappelle quelque chose avec la mise en place des nouveaux tarifs solidarité de Nîmes Métropole... On a pas fini de payer.
Valleraugue : le maire s’encarte à l’UDI. Une prise de guerre pour les centristes gardois. Alors que Laurent Burgoa n’avait pas ménagé ses efforts aux Départementales pour rallier Thomas Vidal sous la bannière du Bon Sens Gardois, le maire de Valleraugue a préféré prendre sa carte à l'UDI. Le résultat d'un « cheminement personnel », pour l’édile cévenol qui assure que sa démarche ne sert aucunement à nourrir de futures ambitions politiques…
Les Républicains : pour P.Gourdel, le renouveau c’est Bruno. Ce dimanche, l’adjoint à la très sarkozyste ville de Nîmes, Pascal Gourdel, est en réunion à Marseille pour préparer l’entrée en campagne de Bruno Le Maire. L’ancien ministre de Nicolas Sarkozy devrait déclarer sa candidature à la Primaire de la droite au salon de l’Agriculture qui se tient à Paris du 27 février au 6 mars.
Les fouilles s'exposent en gare de Nîmes. L'Inrap, Oc'Via et SNCF proposent prochainement l'exposition "Archéologie sur le Contournement ferroviaire de Nîmes et Montpellier" consacrée aux fouilles préventives menées entre 2012 et 2014, sur prescription de l’État (service régional de l'Archéologie), en amont de la construction de la nouvelle ligne. Après la première étape à Aimargues (du 4 au 20 février), elle débarque dans la gare de Nîmes pour un mois, à partir du 29 février prochain.
L'entrée de Nîmes par la route de Montpellier s'offre un lifting. Les équipes municipales de la ville de Nîmes sont en cours d'étude pour redonner un second souffle à l'entrée de la cité romaine du côté de la Route de Montpellier. Depuis de nombreuses années, la vie commerciale est en difficulté sans parler du marché gare à l'abandon. Sont annoncé pour les prochains mois, le transfert de concessionnaires automobiles, de nouveaux magasins au Mas des Rosiers et la réhabilitation du marché gare. L'idée semble toute bête mais réelle : de nombreux véhicules font leur entrée dans la ville par cette voie. Comment leur donner envie de s'y arrêter ?