L'homme recherché depuis 4 jours, a profité d'une pause pipi pour échapper à la vigilance de la pénitentiaire.

Cela fait quatre jours que cet homme (voir photo ci-dessus) est introuvable. Pourtant de gros moyens de gendarmerie ont été mis en place, jeudi matin, rapidement après la début de sa cavale. Les gendarmes fouillaient les coffres, recherchaient dans la nature et vérifiaient tous les témoignages d'habitants du secteur.

Aujourd'hui le temps de l'enquête de la section de recherches de Nîmes est arrivée. Des investigations minutieuses menées dans le secret. Une chose est certaine, le détenu qui était transféré d'une prison de l'Hérault vers le palais de justice d'Alès pour rencontrer un juge, ne pouvait pas savoir qu'il allait passer par cette route. " Et personne à l'extérieur ne pouvait le savoir, car les services de la pénitentiaires changent régulièrement de parcours. C'est le hasard qu'il soit passé par ce chemin", confie une source syndicale. "

"Il n'a pas pu bénéficier d'une complicité volontaire dans le secteur permettant sa fuite, car dix minutes avant l'arrêt qui lui a permis de s'enfuir, personne ne connaissait le chemin qu'allait emprunter l'escorte de la pénitentiaire et qu'il y aurait un arrêt sur la commune de Saint-Théodorit, au bord de la route", poursuit affirmatif notre témoin. A-t-il par la suite été pris en charge par un automobiliste qui lui a permis de quitter rapidement le secteur? Un détenu en cavale pour lequel un appel à témoin a été diffusé par les autorités.