Publié il y a 6 jours - Mise à jour le 08.04.2025 - CORENTIN DIMANCHE - 1 min  - vu 475 fois

ALÈS Basile Imbert officiellement chef de file du PS pour les municipales 2026

Basile Imbert quitte son poste de collaborateur de cabinet du maire de Saint-Hilaire-de-Brethmas. (Photo Corentin Migoule)

Le trentenaire mènera la liste du Parti Socialiste l'année prochaine. Reste à savoir si cette liste sera uniquement celle du PS, du mouvement Maison Commune, ou d'une future réconciliation avec le Printemps Alésien.

Sans surprise. Déjà pressenti comme tel depuis le retrait politique d'Arnaud Bord, Basile Imbert a été désigné chef de file du Parti Socialiste à Alès pour les élections municipales 2026. Son rôle sera "d’animer le collectif et la campagne et de conduire les négociations avec les potentiels partenaires pour une liste d’union que les socialistes alésiens souhaitent la plus large, afin d’offrir enfin l’alternance dans notre commune." Ce travail a déjà commencé puisque le PS a pris part à La Maison Commune, une nouvelle "nouvelle force unitaire" formée par les anciens partis du Printemps alésien, hors PCF.

"La donne a changé, Christophe Rivenq n’est pas Max Roustan"

Le doctorant et enseignant en science politique à l’Université de Montpellier voit en son parti "une force identifiée et respectée à gauche comme dans la population" et veut s'"ouvrir davantage aux habitants en menant une campagne pour recueillir leurs propositions".

Il veut aussi tirer profit de la situation politique métamorphosée en 2026 à Alès : "La donne a selon moi changé et tout d’abord parce que Christophe Rivenq n’est pas Max Roustan, quoi qu’on en dise. Si je ne sous-estime pas, loin de là, notre nouveau maire je pense que le contexte politique est à présent radicalement différent et que les cartes sont rebattues." Ces élections seront ainsi les premières sans Max Roustan tête de liste pour celui qui est né en juin 1995 et a soutenu Arnaud Bord lors des précédentes municipales. À Nimes, le chef du PS sera Pierre Jaumain.

Basile Imbert, responsable des Jeunes socialistes : « On voit bien la différence entre ce que fait un gouvernement de droite comme celui d’Emmanuel Macron et ce qu’a fait un président de gauche comme François Hollande lorsqu’il a créé 60 000 postes dans la fonction publique pour réparer la casse du quinquennat de Nicolas Sarkozy. »

Corentin Dimanche

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