ROQUEMAURE Gros succès pour l'Opération brioches
Chaque année, la commune de Roquemaure participe à l'Opération brioches, organisée par l'Unapei 30 pour financer ses actions auprès des personnes en situation de handicap mental et de leurs familles.
L'objectif était simple : "retrouver notre niveau de collecte d'avant covid", explique Alexandra Martin, responsable du CCAS de Roquemaure. Alors le CCAS s'est retroussé les manches et mis en place de nouvelles actions pour l'opération de cette année qui s'est tenue du 3 au 9 octobre. AInsi, les conseillères municipales Nicole Bouche et Sandrine Cottaz, membres du conseil d'administration du CCAS, ont tenu un stand lors de deux marchés du mardi.
"Puis la vente des brioches a continué tout au long de la semaine dans les bureaux de l'espace CLIC", explique Sandrine Cottaz. Parralèlement, le CCAS a acheté des brioches qui ont été servies en "brioches perdues" confectionnées par le chef de la cantine scolaire Johan Magès, "qui ont été proposées aux enfants des écoles mangeant au restaurant scolaire, la garderie périscolaire et le pôle petite enfance a-ont aussi proposé de la brioche au goûter", rajoute l'élue.
Plusieurs associations roquemauroises ont aussi participé à la collecte, à savoir l'Amicale des donneurs de sang, les Amis de la route et Loisirs et culture. Et ça a marché : cette année, 350 brioches ont été vendues et 1 840,80 euros ont été collectés et remis ce vendredi à Christine Pailhon, vice-présidente de l'Unapei 30. L'année dernière c'était deux fois moins : 933,30 euros avaient été collectés.
"Vous êtes une des communes qui ont le mieux participé", dira Christine Pailhon. "Les fonds servent à équiper nous établissements", rajoute-t-elle. L'Opération brioches a ainsi permis de financer deux tableaux numériques interactifs à l'Institut médico-éducatif des Violettes, à Bagnols, et l'Ehpad Saint-Roch, toujours à Bagnols, va pouvoir bénéificer de jeux interactifs pour les résidents. S'il y a assez de fonds, le foyer des Agarrus, lui aussi situé à Bagnols, en bénéficiera aussi. "Les fonds récoltés sur le territoire restent sur le territoire", commente Christine Pailhon.