Nîmes est une ville humble et Sanseverino, enfant de Montreuil, aime ça. Il apprécie fortement le Gard pour y venir plusieurds fois par an. Cette année, et comme il a profité des périodes de confinement, pour rebrancher sa guitare, il rend compte de son travail.

Travail pour lequel il avait convoqué Stéphane Huchard, jazzman émérite, et François Puyalto, bassiste entre autre d’Émilie Loizeau pour un onzième album plus électrique que jamais.

"Deux doigts dans la prise est né d’une envie d’arpenter d’autres lieux, d’autres pistes, d’autres sons en allant, entre autres, faire un tour du côté des sonorités funk et afrobeat avec notamment quelques références à The Meters par exemple ou bien au 6/8 que l’on entend généralement dans l’afrobeat. S’inspirer de différents mouvements musicaux, tout en restant fidèle à mon univers de paroles, mes éternelles histoires, à ma seule façon d’écrire", évoque l'artiste.

En première partie, Tel Quel. C'est la rencontre entre Dominique Gazaix, multi-instrumentiste chanteur, et Nick Cutter, artiste rap. Le résultat est un cocktail inédit de générations et de musiques : une nuance de rap et de chanson sur laquelle plane l’ombre d’une énergie rock’n’roll.

Tarif 10 euros et 4 euros en réduit, pour tout public.