Publié il y a 3 ans - Mise à jour le 29.03.2021 - tony-duret - 2 min  - vu 819 fois

SAINT-AMBROIX La préfète visite son premier centre de vaccination

La préfète, Marie-Françoise Lecaillon, entourée à sa droite du maire de Saint-Ambroix, Jean-Pierre De Faria, et du sous-préfet d'Alès, Jean Rampon. Photo Tony Duret / Objectif Gard

Ce lundi après-midi, la préfète du Gard, Marie-Françoise Lecaillon, s’est rendue au centre de vaccination de Saint-Ambroix qui a ouvert ses portes le 18 mars dernier.

C’est à la maison des associations, sur le boulevard du Portalet qui traverse le cœur de la commune de Saint-Ambroix, que le premier centre de vaccination du territoire Cèze-Cévennes accueille depuis quelques jours les personnes de plus de 75 ans désireuses de se faire vacciner contre la covid-19.

Une excellente nouvelle pour le maire de la commune, Jean-Pierre De Faria : « C’est une satisfaction car on répond à une demande des habitants. Les gens sont ravis et rassurés d’avoir un centre sur le territoire. On estime qu’on a plus de 2 000 personnes de plus de 75 ans qui souhaitent se faire vacciner ».

Le centre de vaccination de Saint-Ambroix. Photo Tony Duret / Objectif Gard

Pour répondre à cette demande, le centre est actuellement ouvert sur des demi-journées et les infirmières injectent environ 300 doses du vaccin Pfizer par semaine. « On va augmenter la cadence », annonce le docteur Aimé Mohr, le coordinateur du centre, à la préfète.

« On projette d’atteindre rapidement l’objectif de 100 doses par jour (contre 60 aujourd’hui, Ndlr), puis de 1 000 par semaine en ouvrant le centre sur des journées entières », poursuit-il. Marie-Françoise Lecaillon n’en attendait pas moins, elle qui espère « faire monter en puissance les centres qui existent déjà ».

À ce jour, le centre de vaccination de Saint-Ambroix est composé de deux infirmières qui pratiquent les injections, d’un médecin qui rencontre les patients qui le souhaitent, et de deux personnes qui gèrent l’accueil et prennent, notamment, la température des visiteurs. Personne n’y échappe.

Même la nouvelle préfète a dû montrer patte blanche. Comme quoi le sujet de la vaccination n’est pas forcément le plus brûlant : elle aura certainement d’autres dossiers qui lui feront grimper la fièvre.

Tony Duret

Tony Duret

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