Des inscriptions "THS" qui permettaient d'identifier une même personne ou un même groupe. Ces incidents ont beaucoup fait parler dans la cité ducale. Les gendarmes de brigade d'Uzès ont récolté une trentaine de plaintes de février à octobre 2022. 

Des voitures stationnées dans les rues, des restaurants, des commerces étaient visés par des peintures et des gravures sur les vitrines. Les militaires sont parvenus à retrouver un jeune employé agricole qui a reconnu les faits... "C'était une passion, puis c'est devenu n'importe quoi", soutient le prévenu qui écope de 4 mois de prison avec sursis et à des dommages et intérêts à verser à certains commerçants.