FAIT DU JOUR La fièvre du vendredi soir à Nîmes !
Ça y est, le week-end a commencé ! Hier soir, les festaïres ont profité en masse de la feria des Vendanges 2024, accompagnés par un petit air frisquet.
Avant d’amorcer définitivement la rentrée, l’ambiance festive de la feria de Nîmes rappelle nos vacances d’été. Ce vendredi, le public était au rendez-vous avec des artères bondées, comme la traditionnelle rue Fresque.
Objectif Gard a commencé son périple festif au Prolé, valeur sûre de la feria. Ici, on danse surtout sur le pied… gauche, au son d’un grand classique de Michel Berger : « La groupie du pianiste ». Soudain, une tête connue apparaît : l'ancienne candidate PCF, Sabine Oromi, sur la 3e circonscription du Gard. Comme tout le monde met la main à la pâte, elle est chargée de préparer les traditionnels mojitos du Prolé !
La marche festive se poursuit en face des arènes où les grands classiques de Dalida comme « Laissez-moi danser » font recette !
Étape suivante au Café Olive. Un autre type de musique dans ce café du boulevard Victor-Hugo. On vient davantage pour se déhancher et mettre à profit les heures passées devant le miroir à tester ses pas de danse.
À quelques encablures, devant le bar Mi Ami, rue de l'étoile, l’inépuisable Y.M.C.A fait toujours danser les festaïres !
Soudain, rue Fresque, c'est l'alerte info trafic : la circulation est fortement ralentie !
On remonte la rue, direction Le Rouge géré par Denis Allegrini. Ici, quelques personnalités locales, comme le premier adjoint de la ville de Nîmes, Julien Plantier, ou encore le président de la CCI, Éric Giraudier, en grande discussion avec Simon Casas, le gestionnaire des spectacles taurins à Nîmes.
Et oui, la feria peut aussi être un moyen pour les chefs d’entreprise de faire des affaires !
En remontant la rue, on tombe sur Florian, 21 ans, originaire de Marignane, qui n'a pas hésité à mettre son parapluie de tête Orangina : « Je l’ai eu pour un Tour de France en juillet dernier. On peut dire que la boucle est bouclée parce que la première fois que je suis venu à Nîmes, c’était aussi pour un Tour de France. »
Enfin, retour sur le boulevard Victor-Hugo avec deux valeurs sûres : le Barjoe et bien sûr, le Victor avec son incontournable toro ! La fête a bien commencé. Deuxième acte certainement encore très chaud ce samedi soir.