Les actes inqualifiables du Hamas, au pouvoir à Gaza, samedi dernier sur le territoire de leur voisin Israël rappellent une fois encore que la paix au Proche-Orient restera pour encore longtemps un lointain souvenir. En France, les atrocités de ces terroristes islamistes rappellent les heures sombres vécues il n'y a pas si longtemps... Depuis, le monde, sous le coup de l'émotion, tremble d'un embrasement de toute la région. En attendant, on compte les morts. Plus de 1 200 civils tués côté israélien. Autant si ce n'est plus du côté de Gaza après l'offensive de l'armée israélienne en réponse à ces attaques inédites par leur ampleur. Chez nous, le président de la République Emmanuel Macron, dans son allocution hier soir, annonçait un dernier bilan de 13 Français tués, tandis que la Première ministre Borne faisait état d'une vingtaine de ressortissants portés disparus, dont des enfants. Le chef de l'État de rappeler que « Israël à la droit de se défendre » mais « en préservant les populations civiles ». Reste à espérer que cette situation dramatique ne s'exporte pas en France. Dans la classe politique, après une semaine de polémique suite aux scandaleuses positions ambiguës de quelques personnalités de La France Insoumise, Emmanuel Macron appelle à l'unité. Tout en assurant mettre les moyens nécessaires pour protéger les lieux de culte judaïque. Tous sont aujourd'hui placés sous protection. Un moindre mal. Autre conséquence de ce drame : la haine qui se propage à vitesse grand V sur les réseaux sociaux. Et les innombrables vidéos des carnages humains. Le président porte une réelle responsabilité sur l'exposition des plus jeunes à ces atrocités. Avec l'aide de la Commission européenne, il doit agir au plus vite pour ne plus laisser en particulier le réseau social X (ex-Twitter) continuer à diffuser de fausses informations et des contenus violents. « Les porteurs de haine » comme le chef des armées l'a répété hier soir, ont un patron en la personne d'Elon Musk. Reçu voilà quelques mois en France en grande pompe... Il serait temps de couper le fil, tous les fils. C'est l'honneur de la France aussi qui est en jeu...