660 personnes ont choisi de s’installer à Alès en 2019. Ce samedi 23 novembre, ces nouveaux arrivants étaient invités en mairie pour une réception organisée en leur honneur.

À l’entrée de la salle des États de l’Hôtel de Ville, Max Roustan serre des mains dans lesquelles il remet un petit pot de miel des ruches municipales, en guise de cadeau de bienvenue. Malgré la pluie, ils étaient nombreux ce samedi matin à avoir répondu à l’invitation du maire, qui s’est tout de suite voulu rassurant sur les intempéries de la nuit : « Nous sommes passés au travers des problèmes d’inondabilité. Maintenant, nous sommes tranquilles. » Après ces quelques mots, la salle a été plongée dans la pénombre pour visionner deux vidéos qui présentent la ville d’Alès et son agglomération.

Ensuite, le secrétaire général de l’AVF (Accueil des villes françaises) d’Alès, Gilbert Jacquiau, a égrainé les atouts essentiels de la capitale des Cévennes : « Sa scène nationale du Cratère, ses équipements sportifs, sa médiathèque, ses manifestations culturelles et festives remarquables, son hôpital rénové et la qualité des soins qui y sont prodigués, etc. » L’association, basée à l’espace André Chamson, a pour mission d’aider les nouveaux arrivants à s’adapter à leur nouvelle ville. Et pour ceux qui souhaitent s’investir dans la vie associative locale, l’élu Gérard Palmier a précisé qu’il existe « plus de 200 associations adhérentes à Alès 1901 », la structure qui gère l’ensemble des associations alésiennes.

Enfin, le maire d’Alès et président d’Alès Agglomération, Max Roustan, a vanté à son tour les mérites de la ville qu’il dirige depuis 1995 et « l’ambiance chaleureuse » qui y règne. « Nous sommes ici dans un grand village où il fait bon vivre. Nous sommes ouverts et nous acceptons tout le monde. Nous avons également construit la ville de demain en concertation avec les habitants », ajoute-t-il. À l’issue des discours, la ville a offert des paniers garnis à des habitants tirés au sort avant de partager le verre de l’amitié avec tous ces nouveaux venus.

Élodie Boschet