Publié il y a 7 h - Mise à jour le 30.01.2025 - Corentin Dimanche - 1 min  - vu 153 fois

ALÈS Le Printemps alésien veut construire 2026 en 2025

paul planque

Paul Planque 

- Photo Printemps alésien

Entre critiques de la majorité municipale et annonces de leurs ambitions pour 2025, et au-delà, le Printemps alésien, oppositon de gauche à Alès, a souhaité ses vœux à l'espace Cazot.

Il ne s'en cache pas, "le rôle d'élu minoritaire n'est pas simple à tenir". Le Printemps alésien, groupe d'opposition à la mairie d'Alès mené par Paul Planque depuis 2020, tente d'exister face à "une majorité municipale sourde, qui néglige le changement climatique, la défense du service public et nos agriculteurs".

Autre tête de gondole du groupe, Béatrice Ladrange fustige "ce mini régime autoritaire local qui ne laisse aucune place à l'opposition et donne des réponses évasives et inexactes à nos déclarations précises."

À l'Espace Cazot ce mardi 28 janvier, le Printemps alésien a appelé à "penser du local au mondial. Penser global c'est bien, agir local c'est nécessaire." Avec "l'espoir d'écrire ensemble une nouvelle page pour Alès", les élus de Gauche espèrent "construire 2026 en 2025", mais aussi "faire régner durablement la paix, la solidarité et l'harmonie". Selon l'élue Naïma Guernine, "les clés d'un futur souhaitable doivent être mises dans les mains d'un jeune, plus juste, plus pacifique pour tous".

Paul Planque a aussi profité de la soirée pour citer Arnaud Bord, son ancien "colistier exigeant et opiniâtre" qui s'est retiré de la vie politique, tout en rappelant les combats qu'ils ont menés jusqu'ici. Prenant en exemple "d'efficacité de la mobilisation citoyenne", la conservation du bureau de poste de Tamaris, l'élu a fièrement évoqué l'annulation du projet de 800 logements "dans le poumon vert d'Alès, entre l'Ermitage et le Crassier". 

Corentin Dimanche

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