Publié il y a 3 ans - Mise à jour le 03.11.2021 - stephanie-marin - 2 min  - vu 864 fois

GARD Cinquième slalom de Nîmes-Delta : la dernière épreuve de la saison 2020-2021

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Trois semaines après le slalom de Beaucaire, la finale de la discipline du championnat de Ligue se tiendra à Nîmes les 6 et 7 novembre prochains.

Si le classement production, (voitures fermées) est dominé par Félix Volpellière depuis le premier slalom de l’an dernier - le championnat se déroulant sur deux ans à cause du covid - Anthony Jimenez et Vincent Herold sont au coude-à-coude avant cette dernière manche soit pour la victoire, encore possible pour eux, ou pour les places d’honneur. Il en est de même pour le championnat Sport (monoplaces), Frédéric Roux Sablier est en tête, mais la pression est forte avec Lionel Di Berardino qui revient sur lui et qui se retrouve avec seulement 6 points de retard avant ce dernier rendez-vous.

La troisième place semble être promise à Stéphane Baud, mais là aussi rien n'est encore fait et les choses peuvent changer après ce slalom qui clôturera une saison 2020-2021 bien remplie malgré la pandémie, puisque cinq slaloms sont pris en compte pour le classement final. En féminin, Élodie Maurin semble bien partie pour remporter le championnat avant cette course, elle devance Séverine André de 14 points, ce qui n’est pas suffisant pour être sûr de l’emporter, la bagarre s’annonce belle. À la troisième place, Marion Escargueil n’a participé qu’à un slalom en 2020 à Beaucaire.

Le circuit tracé dans la zone Delta, le long de l’ancien siège de la Ligue Occitanie-Méditerranée à Nîmes apporte satisfaction et s’améliore d’année en année pour le plus grand plaisir des participants qui répondent présent à chaque édition. Long de 1450 mètres, il est constitué d’un départ qui emmène les pilotes sur un virage à droite, ils enchaînent après avec plusieurs chicanes qui les dirigent vers un rond-point qu’il faut négocier avec délicatesse. Après un demi-tour, ils reviennent par le même tracé à l’envers jusqu’à l’arrivée. Depuis cinq ans, les meilleurs pilotes de la discipline sont de la partie, mais il est encore trop tôt pour parler des concurrents, qui par habitude s’engagent tardivement à ces manifestations car même si les meilleures voitures de course sont en lice, on peut y participer avec sa voiture de tous les jours avec une licence à la journée en catégorie Loisir.

Stéphanie Marin

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