Une grande exposition à travers la ville, des temps forts faisant la part belle aux arts vivants et performatifs, des « maisons », relais de la triennale dans différents quartiers avec des résidences d’artistes, et une programmation associée conçue avec plusieurs acteurs culturels nîmois. Une programmation d’envergure qui rassemble des artistes émergents et reconnus de la scène française et internationale, pour (re)découvrir Nîmes sous un jour nouveau, dans l’espace public, des musées, des sites patrimoniaux et des lieux de la vie quotidienne.

Le vendredi 5 avril de 18h à 22h, soirée d’ouverture de l’exposition « Neïla Czermak Ichti & Baya : rien ne me manque », gratuit dans la limite des places disponibles.

De 18h à 21h, « La Fugue » création sonore de la cheffe d’orchestre et compositrice Uèle Lamore interprétée par plusieurs ensembles d’élèves instrumentistes du Conservatoire à rayonnement départemental de Nîmes. Cuivres, cordes et vents sont de sortie, pour jouer une fugue d’un nouveau genre, qui associe instruments de musique classique et compositions électroniques dans des boucles entêtantes. Plusieurs apparitions spontanées, dans l’espace public et des lieux de l’exposition, qui viennent rythmer ce premier moment de découverte de la Contemporaine de Nîmes, et nous inciter à fuir – en musique ! – notre quotidien pour quelques heures.

Samedi 6 et dimanche 7 avril, l’exposition « Neïla Czermak Ichti & Baya : rien ne me manque » verra son entrée gratuite. Les mercredis, jeudis, vendredis et samedis, du 10 avril au 22 juin, « L’exploration contemporaine » de 16h30 à 17h30 avec la visite guidée « Neïla Czermak Ichti & Baya : rien ne me manque ».

Découvrez le dialogue artistique intergénérationnel aux multiples points communs entre la jeune peintre Neïla Czermak Ichti & Baya, icône de la peinture algérienne : vibration des couleurs, musique, contes, mais également femmes ou mondes peuplés d’étranges chimères et animaux fantastiques, à la fois compagnons et alter egos. Par l’équipe de médiation de la Contemporaine de Nîmes (tarif : entrée + visite guidée trois euros / six euros / huit euros, Pass Culture, gratuite sur présentation du Pass Contemporaine de Nîmes (dix euros, vendu à l’accueil du Carré d’art et à l’office du tourisme. Dans la limite des places disponibles).

Mercredi 10 avril, de 10h30 à 12h, les vacances se passent au musée « Le petit monde de Baya ». Oh les jolies dames ! Oh les papillons ! Oh les fleurs multicolores ! Equipés de pinceaux et de couleurs, les petits artistes peignent le merveilleux monde de Baya. Pensez à vous munir d’une blouse. Doudous autorisés, visite et atelier en famille par Florence Duchêne au tarif de cinq euros à partir de trois ans (réservations au 04 66 76 71 63).

De 14h30 à 16h30, les vacances se passent toujours au musée « À la manière de Baya ». Observez les œuvres de Baya lors d’une courte visite avant de retrousser ses manches et peindre à la manière de l’artiste ! Pensez à vous munir d’une blouse. Visite et atelier par Florence Duchêne au tarif de cinq euros à partir de six ans (réservations au 04 66 76 71 63).

Jeudi 18 avril de 10h30 à 12h Les vacances au musée « Il était une fois : Baya et les animaux » après avoir observé les animaux, souvent fantastiques, de Baya, les enfants vont à l’atelier dessiner et coller pour décorer leur propre animal : papillon, poisson, oiseau... Visite et atelier par Céline Morales au tarif de cinq euros à partir de six ans (réservations au 04 66 76 71 63).

Le vendredi 19 avril de 10h30 à 12h, « Abracadab’art : l’exposition pour les enfants ». L’exposition en cours est à découvrir seul ou en famille. Histoires, petits jeux et dessins. Visite ludique par Céline Morales au tarif de cinq euros à partir de six ans (réservations au 04 66 76 71 63).

Enfin et pour vos visites libres seul ou en famille, les livrets-jeux, coloriages, fiches recettes, QR Codes, sont une manière ludique pour découvrir les collections du musée. Disponibles gratuitement, à faire sur place ou à la maison. Audio-guides en français, anglais, espagnol et italien pour deux euros.