Publié il y a 11 ans - Mise à jour le 11.04.2013  - 2 min  - vu 132 fois

ALÈS Le CAC Volley Ball privé de son destin

L'entraîneur du CAC Volley Ball, Mickael Blondeau a du ressortir la calculette cette semaine suite à deux décisions qui ont bouleversé le tableau et privé l'équipe alésienne de la maîtrise de son destin. Alors que la distance au points  avec le 13e St Brieuc permettait encore au CAC Volley Ball déjà durement éprouvé cette saison d'espérer le maintien en ligue B avant son dernier match contre Lyon, deux événements survenus cette semaine viennent remettre en question cette option. Dans un premier temps on a appris que St Brieuc  avait obtenu de rejouer jeudi soir le match  perdu (3-0) face au Canteleu au motif de l'intervention du deuxième arbitre sur une balle de set, motif validé par la ligue. Dans cette opération St Brieuc ne peut que gagner des points et mettre Alès en danger. Le deuxième événement c'est la décision de déclassement du Club d'Orange qui modifie cette fois non pas le bas mais le haut  du tableau et entraîne des conséquences en cascades. Dès lors trop de paramètres entrent en jeu pour les dernières journées. Quelle sera l'attitude combative du Canteleu contre St Brieuc ?  Le Plessis a-t-il la volonté et les moyens financiers de jouer les play off ? Lyon peut il se permettre de concéder un seul set à Alès selon les résultats d'Asnières qui joue en même temps ?... un vrai casse tête. "Nous sommes passés d'une situation où nous avions encore notre destin en main à une situation où on ne l'a plus" explique Mickael Blondeau. "Mon domaine c'est le terrain, pas les décisions administratives" poursuit-il. "Il me faut faire en sorte d'aligner une équipe samedi face à Lyon, sans déshabiller trop de postes, ce qui n'est déjà pas simple en ce moment. Le mieux que l'on puisse faire de notre côté c'est de prendre un set à Lyon ; David contre Goliath en quelque sorte. Mais même là, on peut sortir du match de samedi avec les yeux rouges. On est peut-être parti d'un peu trop loin. Il sera toujours temps après de se poser les questions de pourquoi on en est arrivé là !" 

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