Publié il y a 4 ans - Mise à jour le 04.10.2020 - anthony-maurin - 2 min  - vu 207 fois

GARD Le président national de la Chambre des métiers soutient les sinistrés des Cévennes

À Valleraugue le 19 septembre dernier, la puissance de l'eau était telle que des voitures ont été retournées par les flots. (Photo Marie Meunier / Objectif Gard)

Ici en 2017, Henri Brin (Photo Archives CMA30).

Le Président national de la Chambre des métiers et de l'artisanat, Joël Fourny tient à se rendre sur le terrain, aux côtés du président gardois, Henry Brin, ce lundi 5 octobre, pour manifester leur mobilisation et solidarité  face à l’imprévu.

La Chambre de métiers et de l’artisanat France a débloqué un montant de 90 000 euros en faveur des artisans gardois violemment impactés par l’épisode cévenol exceptionnel du 19 septembre dernier.

La Chambre de métiers et de l’artisanat du Gard a donc perçu une aide spécifique " fonds de calamité " en début de semaine dernière. Une volonté d’affirmer sa solidarité à l’égard des artisans sinistrés et de leur permettre obtenir une première aide d’urgence face aux lourds dégâts dont ils ont été victimes.

Pour conforter son soutien, le président de CMA France, Joël Fourny, a tenu à effectuer un déplacement pour rencontrer les entreprises artisanales impactées aux côtés du président gardois Henry Brin et des représentants de l'État. Il est important, à ce jour, de se mobiliser pour apporter un soutien moral et financier indispensable à la relance de ces entreprises. Le président de la Chambre régionale de métiers et de l’artisanat occitanie, Serge Crabier s'est lui aussi associé à cette mobilisation.

Les présidents doivent se rendre sur les communes de Valleraugue et Saint-André-de-Valborgne, villages faisant parties des plus sinistrées sur le secteur gardois. Cette visite sur le terrain est  programmée entre 12h et 16h. L’objectif est de partager un moment privilégié avec ces chefs d’entreprises dans le désarroi après la perte quasi-totale de leur matériel et d’un arrêt de leur activité. Le facteur humain est, dans cette épreuve, indispensable pour ces artisans déjà fragilisés par la crise du COVID-19.

Anthony Maurin

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