UZÈS Un club-house rénové et agrandi au stade Pautex
Depuis le début de la saison, l'ESPU (Entente sportive Pays d'Uzès) profite d'un club-house refait à neuf. Cet espace qui se trouve au stade Pautex a été rénové et agrandi.
Les travaux se sont terminés fin juillet. Juste à temps pour que l'ESPU démarre la saison avec un club-house refait à neuf. Fini le local tout en long et trop petit, bonjour l'espace lumineux, fonctionnel et agrandi. Avec en prime, une vue imprenable sur la pelouse. "Le projet consistait à réaménager et à augmenter la surface existante pour créer des bureaux administratifs, des sanitaires et un vrai club-house de 70m2", rappelle le maire d'Uzès, Jean-Luc Chapon.
De l'ancien bâtiment, a été conservée la façade côté route qui témoigne du caractère d'origine datant des années 50-60. "Les ouvertures existantes ont été conservées. Deux portes ont été ouvertes et réalisées à l'identique de la porte existante sur la façade ouest", décrit le maire. Six mois de chantier ont été nécessaires pour cette opération à 440 000 € TTC, subventionnée à hauteur de 68 575 € par le Conseil départemental du Gard.
Mieux accueillir les partenaires
Le premier magistrat poursuit : "L'objectif était que ce lieu remplisse plusieurs fonctions : espace de convivialité lors de match ou en dehors, formation des adhérents, organisation de réunions du club, salle de préparation des matchs et lieu de vidéo-projection. Il pourra également permettre l'accueil des partenaires (sponsors, présidents de club, dirigeant de ligue) de manière confortable et valorisante."
Le sénateur, Denis Bouad, a salué la réalisation de cet équipement sportif qui, il en est sûr, va favoriser "le lien social et le bien-vivre ensemble". Ahmed Maharzi, président de l'ESPU depuis deux ans, est aussi ravi de cette rénovation : "C'était nécessaire, avant c'était en mauvais état et petit. La surface a été doublée, ça n'a rien à voir. Ça fait plaisir de venir au stade." Le club-house est à l'image du dynamisme de l'entente sportive qui compte 250 licenciés et voit le nombre de demandes augmenter chaque année. "On y passe du temps ici, c'est bien d'avoir un endroit où on se sent bien", conclut Ahmed Maharzi.